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Dans un trou vivait un hobbit. Ce n'était pas un trou déplaisant, sale et humide, rempli de bouts de vers et d'une atmosphère suintante, non plus qu'un trou sec, nu, sablonneux, sans rien pour s'asseoir ni sur quoi manger : c'était un trou de hobbit, ce qui implique le confort. [J.R.R. Tolkien]

Dans un trou vivait un hobbit. Ce n'était pas un trou déplaisant, sale et humide, rempli de bouts de vers et d'une atmosphère suintante, non plus qu'un trou sec, nu, sablonneux, sans rien pour s'asseoir ni sur quoi manger : c'était un trou de hobbit, ce qui implique le confort. [J.R.R. Tolkien]X
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BILBO LE HOBBIT, de J.R.R. Tolkien
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Auteur : John Ronal Reuel Tolkien
Titre : Bilbo le Hobbit
Edition : France Loisirs
Page : 401  _ Date de parution : 1937
Genre : Fantaisie
Résumé : Prélude au Seigneur des Anneaux, Bilbo le Hobbit vous emmènera dans une bien étrange aventure... Mais qui est Bilbo ? Un Hobbit tout ce qu'il y a de plus normal, qui aime boire, ripailler, discuter avec ses amis et, surtout, vivre une existence sans histoire ! Enfin, cela c'était avant les Nains, l'inquiétant Gollum, les araignées géantes de la forêt de Mirkwood, la Bataille des Cinq Armées, le dragon Smaug et son trésor... [résumé quatrième de couverture] 
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Mon avis : Voila longtemps que je voulais lire Bilbo le Hobbit, voilà qui est fait. Je voulais le lire avant de voir le dernier film au cinéma, et je me dis que ça ne vas être pratiquement être que de la guerre, dans ce dernier film du Hobbit (un peu, mais pas vraiment, comme le dernier film de la trilogie le Seigneur des Anneaux). Mais bon, ils ont déjà rajouté des scènes et des personnages, ils n'auront pas de mal à meubler (et ça ne signifie pas que ce film sera mauvais, j'aime beaucoup la trilogie du Hobbit, mais je préfère le Seigneur des Anneaux car j'ai grandis avec ces films, ils sont comme une partie de moi -allez s'y, moquez vous de moi!-). Bref, j'avais déjà lu trilogie du Seigneur des Anneaux (et je compte la relire) que j'avais beaucoup aimé, il ne me manquait plus que le Hobbit, qui est très différent du Seigneur des Anneaux. 

Commençons par faire la différence entre Bilbo le Hobbit et le Seigneur des Anneaux, il me semble important de passer par là. Déjà le fait est que Bilbo le Hobbit est un conte pour enfant, écrit par Tolkien pour le réciter à ses petits enfants. De ce fait, l'écriture est beaucoup plus simple que dans la trilogie écrit plus tard, et les actions beaucoup plus rapides et beaucoup plus facile à comprendre (pour ceux qui ont eue du mal avec la trilogie du Seigneur des Anneaux à cause de ses raisons là, vous pouvez sans hésité vous lancer dans la lecture de Bilbo le Hobbit) car il y a beaucoup moins d'explications. Après, il est quand même ici question de nains, de hobbits, de magiciens, de dragon, de trolls, de gobelins et d'elfes, pour ceux qui n'apprécient pas forcément cette univers, je pense que ce n'est pas vraiment la peine. Pour ma part je ne suis pas du tout friande d'habitude, vous avez pu le remarquer, mais étant donné que j'ai grandis avec l'univers du Seigneur des Anneaux, je n'ai aucun problème à lire la trilogie et ce roman, où cette univers fait presque partie de moi, comme dis plus haut. Après, il n'y a qu'un livre, on m'a posé la question, mais Bilbo le Hobbit, contrairement à sa suite (je rappelle donc ici que Bilbo le Hobbit est une préquelle), n'est pas une trilogie de chacun quatre cent pages (et des pages fines), mais un seul livre, un conte simple, de quatre cent pages, tout de même, mais c'est très rapide à lire. Voila pour les différences et les comparaisons – pour ce qui me semble important, il y en a d'autres à dire – nous pouvons maintenant passer à la véritable critique.
 
Je ne vais pas parler ni de la couverture ni du titre, car il ne me semble pas ici qu'il soit justifier dans parler, parce que je trouve tout assez clair et quand plus, la couverture change d'une édition à l'autre (il y a beaucoup d'éditions différentes). Soyez contents, ça en fera un peu moins à lire !
 
Commençons donc par l'histoire. Il s'agit d'une histoire tout bonnement incroyable et j'ai étais triste lorsqu'elle s'est terminé. Vraiment. Au début tout est calme mais ça ne dure pas car une bande de nains arrivent à viennent déranger Bilbo dans son trou de Hobbit. Et il part (non sans quelques hésitations) pour une grande aventure. C'est une quête, quelque chose d'épique où tout se passe très vite (beaucoup plus vite que dans les films, même les guerres). J'ai étais happé par l'histoire, par là je veux dire passionné, j'ai eue du mal à lâcher le livre (mais j'ai réussi). J'ai a de plusieurs reprises rit, plusieurs fois j'ai étais très pressé de lire la suite car ce qu'il se passait était effrayant, mais dans tous les cas, il est haletant et on ne s'ennuie pas. C'est un conte pour enfant, comme je l'ai dis plus haut. De ce fait, le livre est très vivant, dans ma tête je me suis imaginé comment je pouvais le lire fasse à des enfants, et ce n'est pas compliqué, c'est presque écrit pour. C'est une histoire de hobbit, de nain, de dragon, de magicien et d'autres créatures magiques ou en tout cas, qui je ne pense pas existe dans notre monde (les nains comme dans l'univers de Tolkien, du moins). C'est de la fantasy, ce n'est pas un secret.
 
Parlons maintenant des personnages. Je pourrais parler de Gandalf et des nains en général, mais je souhaite surtout parler de Bilbo. Pour commencer donc, il y a Bilbo Baggins, un hobbit qui comme tous les hobbits, n'aime pas les aventures. Mais bon, il a un côté Took et un côté Baggins, et son côté Took c'est le côté sauvage, qui veut partir à l'aventure tandis que le côté Baggins c'est celui qui veut rester tranquillement chez lui. Il va suivre ce côté Took ! Bilbo Baggins c'est celui qu'on suit, je pense pas que cela vous surprennent et il est très agréable à suivre. Il rajoute de la douceur à l'histoire, il nous ressemble un peu. D'ailleurs, je pense que si j'étais né dans ce monde je serais un hobbit, j'ai mes raisons, mais physiquement, je ressemble un peu à un hobbit... Mentalement, je suis du côté Took, je pense. Bref, je disais qu'il rajoute de la douceur, il rajoute une touche agréable et très vivante à l'histoire. Il est plus intelligent et plus surprenant qu'il ne le pense. Pour ce qu'il s'agit des nains, ils rajoutent une touche comique aussi à l'histoire, et ils sont humains et loyal, mais aussi aveuglés par l'argent et l'or. D'ailleurs, ils sont tellement nombreux et leurs noms se ressemblent tellement que je suis sûre que Tolkien a voulu nous perdre et qu'on ne les reconnaissent pas ! Bref, il y a Gandalf enfin, qui n'est partiellement pas là, mais vous savez très bien qu'il vient toujours au bon moment et qu'il arrive par surprise. Il est agréable lui aussi, et c'est un peu celui qui sait tout, mais il reste toujours très agréable à suivre. Après, il n'y a que les méchants qui sont réellement méchants (oui oui, vous ne vous y attendiez pas à celle-là!)
 
Quant à l'écriture, je vous ai dis plusieurs fois maintenant qu'il s'agissait d'un conte pour enfant, de ce fait l'écriture est claire, agréable. Tout se déroule rapidement et sans beaucoup de descriptions, mais avec assez de descriptions pour bien comprendre ce qu'ils se passent et où on se trouve. Ce n'est pas qu'il n'y a pas assez de description, c'est qu'il y en a pile poil assez. Outre le fait que ce soit pour enfant on peut vraiment le lire à tout âge ! Car ce n'est pas une écriture enfantine, en faite, et c'est ce que je n'aime pas dans les livres pour enfants, c'est que l'écriture est enfantine et donc pas forcément très belle, et pour moi, la plume de l'auteur c'est une part importante de l'histoire. Tandis que là, ce n'est pas une écriture enfantine, j'ai même du aller chercher un mot dans le dictionnaire, c'est pour vous dire. Du coup, vous pouvez lire ce livre sans craindre de trouver l'écriture trop simple, ce qui n'est pas le cas. Je pense qu'il a surtout était écrit pour être lu à haute voix, de ce fait, c'est une écriture très vivante avec parfois des onomatopées et souvent des phrases qui sont faites pour être lu avec une intonation spéciale. C'est du moins ce que j'en pense. En tout cas, en sent bien la plume de Tolkien en lisant ce livre.
 
En sommes, je vous conseille beaucoup ce livre, qui fut pour moi une très agréable lecture. Il ne s'agit pas d'un coup de c½ur pour ma part, mais d'un livre qui vaut vraiment la peine d'être lu. Car c'est un livre très agréable à lire, haletant et avec des personnages vraiment bien (j'ai pas beaucoup de vocabulaire aujourd'hui...). Je l'ai très rapidement, car j'ai étais happé par l'histoire, j'espère qu'il sera de même pour vous ou que ça a était de même pour vous. J'espère en tout cas vous avoir donné envie de le lire !
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Ma note : 8,5/10 
Votre note : ?/10 
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Challenge "Challenge des Paliers" de xx-gloomystory-xx et challenge "un mois, une lettre, un auteur" de la-malle-a-livre ainsi que la bande annonce du premier film.


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#Posté le mercredi 02 juillet 2014 13:36

Modifié le mardi 02 septembre 2014 09:13

C'est comme les gens qui s'imaginent qu'ils seront plus heureux en allant vivre ailleurs, mais qui apprennent que ça ne marche pas comme ça. Où que l'on aille, on s'emmène avec soi. [Neil Gaiman]

C'est comme les gens qui s'imaginent qu'ils seront plus heureux en allant vivre ailleurs, mais qui apprennent que ça ne marche pas comme ça. Où que l'on aille, on s'emmène avec soi. [Neil Gaiman]X
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L'ÉTRANGE VIE DE NOBODY OWENS, de Neil Gaiman
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Auteur : Neil Gaiman
Titre : L'étrange vie de Nobody Owens
Edition : Albin Michel
Page : 304  _ Date de parution : 2008
Genre : Fantastique
Résumé : Nobody Owens est un petit garçon parfaitement normal. Ou plutôt, il serait parfaitement normal s'il n'avait pas grandi dans un cimetière, élevé par un couple de fantômes, protégé par Silas, un être étrange ni vivant ni mort, et ami intime d'une sorcière brûlée vive autrefois. Mais quelqu'un va attirer Nobody au-delà de l'enceinte protectrice du cimetière : le meurtrier qui cherche à l'éliminer depuis qu'il est bébé. Si tu savais, Nobody, comme le monde des vivants est dangereux... [résumé quatrième de couverture] 
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Mon avis : Après la relecture de « L'étrange vie de Nobody Owens » de Neil Gaiman, car oui, il s'agit d'une relecture, j'ai lu ce livre il y a longtemps - je ne sais même plus quand, d'ailleurs - et je ne me souvenais plus de l'histoire, mais j'avais juste un bon souvenir. Du coup, je me suis décidée à le lire une seconde fois, avec bonheur en faites, je m'attendais à un livre très bon et je n'ai pas du tout étais déçu. Bref, après la relecture de « L'étrange vie de Nobody Owens », je ne peux faire qu'une critique positive, car j'ai bien aimé, et j'ai lu le livre très vite. Il s'agit d'un roman fantastique, et je ne lis pas si souvent que ça des livres fantastiques mine de rien, et là, j'ai vraiment aimé. 

Commençons donc par la couverture, parce que je l'aime particulièrement. Elle est dans un gris métallique, mais de façon à que ça ai l'air ancien. Au centre, il y a le portrait en noir et blanc de Nobody Owens, je prédis. Vous savez, comme ces vieux portraits ovale, où le visage est de couleur blanche autour d'un fond noir. Le portrait est dans un joli cadre, cadre entouré de choses qui ont à voir globalement avec la mort et le cimetière. Mais j'adore cette première de couverture, je l'a trouve très attirante, et je trouve qu'elle correspond plutôt bien au livre.
 
Et maintenant, je vais vous parler des illustrations. Car il y a quelques illustrations, qui sont vraiment très belles. Elles prennent soient toute la page, voir plusieurs pages, soit la page est toute en noir avec les écritures en blanc (ce qui fait extrêmement joli à l'occasion). En tout cas, les illustrations sont vraiment en accords avec le livre et elles sont vraiment jolies. En noir et blanc, un style assez spécial de la part de l'artiste, mais c'est le genre de chose que j'aime bien. C'est vraiment un plus dans le roman je trouve.
 
Parlons donc de l'histoire. Et elle est passionnante, d'ailleurs. Je ne me suis pas ennuyé un seul moment en lisant ce roman, de ce fait, je l'ai lu très vite. Il n'est pas énorme, un tout petit peu plus de trois cent pages, mais comme j'ai aimé tourner ces pages à vrai dire. Bref, comme vous avez pu le lire au résumé, c'est une histoire assez hors-du-commun. Je vais vous raconter un peu, mais un jeune enfant, de dix-huit mois, s'échappe de chez lui la nuit où Le Jack, un homme faisant partie d'une confrérie, tue ses parents et sa grande s½ur. Il échoue par hasard dans un cimetière où un couple de fantôme désire s'occuper de lui, ils s'appellent monsieur et madame Owens. En sommes, ses parents sont des fantômes et son tuteur est un homme qui n'est ni mort ni vivant, se nommant Silas. Enfin, ses parents adoptifs décide le nommer Nobody. Le garçon est depuis alors élevé par les habitants du cimetière. Et rien que ça, c'est une histoire incroyable. Mais jusque là, ça ne peut pas plaire à tout le monde. Et j'en suis consciente, ce qui me plaît ne vous plaira peut-être pas ! Mais je vous assure que c'est un livre vraiment bien. Vraiment fascinant. Avec des personnages loufoques et attachants à souhaits et une histoire hors-du-commun. Il y a des aventures, pas d'ennuis. L'ambiance général du livre est pas morbide, pour un cimetière, j'ai trouvé assez vivant, étrangement. Après, oui, c'est une ambiance un peu « burtonesque », je l'imagine bien, d'ailleurs, j'adore ce type. Mais bon, ce ne l'ai pas tellement, je ne serais comment dire, mais c'est une ambiance et paysage dès plus spéciale, c'est très agréable, mais c'est un univers personnel à celui de Gaiman, tout ce qui peut paraître glauque n'est pas ce qu'on peut qualifier de « burtonesque », chacun son univers. Seulement ce que fait Burton est « burtonesque », point final. Mais je vois pas pourquoi tout d'un coup je me met à tergiverser sur ce débat. Passons à la suite...
 
Les personnages ! Il y a donc tout d'abord Nobody Owens, un petit garçon que l'on voit grandir au fur et à mesure qu'on avance dans la lecture. Je trouve qu'on s'attache rapidement à lui et qu'à défaut de mettre identifié à lui, j'ai vraiment compris ses réactions et ses paroles. Je l'ai compris et j'ai compris et ressentis ses émotions. Il est vraiment un personnage agréable à suivre, et auquel, si moi je ne me suis pas identifié, vous pourriez très bien l'être ! Ensuite il y a Silas, je crois que j'ai vraiment aimé ce personnage là. Lorsqu'il était malheureux, j'étais en quelque sorte malheureuse avec lui. Il est un peu mon petit chouchou, mon préféré. Parce que je ne serais pas comment l'expliquer, mais il a la classe, il est ni mort ni vivant, mais pas un zombie – parce que j'aime pas les zombies –, il est gentil, il est mystérieux. Après, il y a vraiment plein de personnages vraiment intéressants, très agréables, drôles parfois, loufoques souvent, attachants toujours (j'aime bien ma figure de style, je vous laisse admirer le chef d'½uvre).
 
Quant à la plume de l'auteur, elle est très agréable, belle. Elle n'est pas trop simple ni trop compliqué, il y a de jolies effets de style, de jolies phrases. On lit le roman simplement, rapidement, car c'est très simple à lire et à comprendre, mais on admire son imagination. Car je trouve ça très imaginatif, surtout l'épisode avec les vouivres.
 
Pour finir, je vous conseille vraiment ce livre, que j'ai vraiment aimé. Le résumé peut vous sembler bizarre, le livre est à l'image du résumé à vrai dire. C'est une histoire belle, fantastique (c'est le genre du livre en faites), agréable à lire. Ce n'est pas un coup de c½ur, mais mon avis reste élogieux, c'est un livre à lire. Vous êtes assuré de passer un bon moment devant.  
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Ma note : 8/10 
Votre note : ?/10 
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#Posté le dimanche 06 juillet 2014 09:20

Modifié le dimanche 27 juillet 2014 11:33

Elle lui sourit. Putain ce sourire. A cet instant Julien jure que si quelqu'un s'avise de lui faire du mal, il lui éclate la geule, il lui fait bouffer ses dents. Claire le bouleverse par la seule grâce de son sourire si mince. [Olivier Adam]

Elle lui sourit. Putain ce sourire. A cet instant Julien jure que si quelqu'un s'avise de lui faire du mal, il lui éclate la geule, il lui fait bouffer ses dents. Claire le bouleverse par la seule grâce de son sourire si mince. [Olivier Adam]
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JE VAIS BIEN, NE T'EN FAIS PAS, d'Olivier Adam
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Auteur : Olivier Adam
Titre : Je vais bien, ne t'en fais pas
Edition : Pocket
Page : 155  _ Date de parution : 2000
Genre : contemporain, drame.
Résumé : Une autre lettre de Loïc. Elles sont rares. Quelques phrases griffonnées sur un papier. Il va bien. Il n'a pas pardonné. Il ne rentrera pas. Il l'aime. Rien d'autre. Rien sur son départ précipité. Deux ans déjà qu'il est parti. Peu après que Claire a obtenu son bac. A son retour de vacances, il n'était plus là. Son frère avait disparu, sans raison. Sans un mot d'explication. Claire croit du bout des lèvres à une dispute entre Loïc et son père. Demain, elle quittera son poste de caissière au supermarché et sa rendra à Portbail. C'est de là-bas que la lettre a été postée. Claire dispose d'une semaine de congé pour retrouver Loïc. Lui parler. Comprendre. [résumé quatrième de couverture] 
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Mon avis : J'avoue avoir peur de ne pas savoir trop quoi dire pour ce livre. Il est court. Seulement un peu plus de cent cinquante pages pour se faire une idée. Et puis, je ne sais pas trop si j'ai aimé ou non. Je suis très mitigé, je pense. Mais je vais m'expliquer un peu plus dans l'entièreté de la chronique. J'avais vu le film avec Mélanie Laurent (une actrice très talentueuse que j'apprécie beaucoup) et j'avais bien aimé. Mais le livre est très différent du film, et je préfère le film. Ce n'est pas souvent, mais j'ai l'impression de juger le livre vis-à-vis de film, et je sais, c'est pas bien, je vais essayer de faire abstraction pour faire une jolie chronique. En somme, excusez moi d'avance si cette chronique est plus courte que les autres. 

En faite, ce sur quoi je suis le plus perplexe c'est la trame narrative et la plume de l'auteur. Je vais d'abord m'expliquer par rapport à la trame narrative. Et je suis désolé, mais je vais prendre en exemple le film. Je vais tout d'abord vous expliquer rapidement l'histoire. C'est l'histoire de Claire Tellier et de sa famille, son frère jumeau à disparu il y a deux ans, quelques semaines après qu'elle est obtenue son bac. C'est à peu près tout. Enfin, après il y a ce qu'il se passe après sa disparition. Bref, il y a beaucoup de choses au passé que ne sont malheureusement qu'évoqué. Par exemple, elle s'arrête de s'alimenter après la disparition de son frère, mais ce n'est que mentionné, on lit ça comme si c'était un événement parmi d'autre, rien d'important. En sommes, nombre de passages auraient selon moi pu être mieux maîtrisés, approfondies. Je trouve ça vraiment dommage. Là on se retrouve avec un livre qui est très court, il faut l'avouer, et où il ne se passe soit pas grand chose (ce que je ne reproche pas à ce livre, ça fait partie de l'histoire, j'ai parlerai plus tard) soit tout se passe trop vite. C'est... oui, c'est dommage.
 
Parlons de la trame narrative maintenant. Parce que c'est quelque chose qui m'a vraiment perturbé. Et encore une fois, c'est à cause du film. Car dans le film tout se passe de façon linéaire. Là, ce n'est pas le cas, au présent, elle va partir à la recherche de son frère à Portbail. Mais on a des retours dans le passé assez souvent, et c'est là où je suis déçue que des choses intéressantes, qui auraient pu être profitables au livre, ne soit que mentionnées. Et c'est pourquoi je suis déçue par la trame narrative parce que je trouve qu'elle ne met pas en valeur le livre. De façon linéaire, comme ça l'ai dans le livre, je trouve que cela aurait mis en valeur des événements qui ici ne sont que mentionnés, donnant peut-être plus de caché à l'histoire.
 
Maintenant. Comme je le disais plus haut, il n'y a pas que des défauts. On peut remarquer une incroyable monotonie dans l'écriture, qui nous montre son existence plus réelle dans sa monotonie. On se met plus facilement à sa place. Cette jeune femme, Claire, qui n'a plus de nouvelles de son frère jumeau depuis deux ans, qui travaille dans un Shopi à Paris, entre caisse, légume et codes-barres. Tout est d'une incroyable monotonie, il ne se passe pas grand chose réellement, dans le livre, mais c'est vraiment en accord avec sa vie, et ça, j'ai bien aimé. Bon, heureusement que le livre est court justement pour cette monotonie, car un livre de trois cent pages avec uniquement cela pour remplir de noir les pages, j'aurais trouvé le temps terriblement long... Mais là, c'est vraiment en accord avec le livre, donc c'est bien, c'est une qualité. Mais l'histoire en elle-même est intéressante, tout de même, c'est un sujet intéressant, et c'est bien écrit.
 
Oui, parlons de l'écriture, de la plume de l'auteur. En faites, elle est très simple, très « réelle ». Je ne vois pas comment dire autrement. Ce n'est pas simple dans le fait que ça ne fait pas agréable à lire. Je trouve la plume de l'auteur en adéquation avec l'histoire. Les phrases sont courtes, simple. Souvent les dialogues sont mis d'une façon assez étrange, comme au discours indirect libre, ou quelque chose comme ça. On ne sait parfois pas si c'est ce qui est dit vraiment ou non, mais c'est intéressant, c'est différent. J'ai bien aimé ce côté de ma lecture. Lorsque vous lirez ce livre, vous le remarquerez vous aussi.
 
Enfin, il y a les personnages. Je vais uniquement parler de Claire, en faite. Car je pense que c'est le plus important, bien que d'autres personnages soient intéressants, ils sont vraiment secondaire. Je ne parlerai donc que de Claire (Lise « Lily » dans le film). Elle a une évolution que je juge vraiment intéressante, à vrai dire. Même si ce n'est qu'évoqué, bien sur. Au moment présent, elle vit dans la monotonie, dans son travail à Shopi, ses parents vivent dans la monotonie dans un quartier où toutes les maisons sont les mêmes. Et je me suis attaché à elle, et je l'ai apprécié.
 
En sommes, je vous conseille tout de même ce livre. Mon avis à été biaisé par le film, je ne suis donc pas vraiment objective dans cette chronique, je pense, car j'ai préféré le film au livre (et ça n'arrive pas si souvent que ça, à vrai dire). Mais il n'est pas mauvais, même si mon avis paraît globalement assez mauvais. Il n'est pas long à lire, et pas désagréable. Prenait le temps de vous arrêter devant, si vous le voulez. Mais pour moi, c'est une lecture agréable, pas plus.
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Ma note : 6,75/10 
Votre note : 7,5/10 (1 note)
 
 
Challenge "Challenge des Paliers" de xx-gloomystory-xx et la bande annonce du film.


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#Posté le mercredi 09 juillet 2014 08:30

Modifié le vendredi 31 octobre 2014 13:31

L'âge venant, je me rends compte que la vie est souvent plus fantastique et plus cruelle que tout ce à quoi nous croyions enfants, et qu'il n'y a sans doute pas de mal à trouver de la magie parmi les arbres. [Eowyn Ivey]

L'âge venant, je me rends compte que la vie est souvent plus fantastique et plus cruelle que tout ce à quoi nous croyions enfants, et qu'il n'y a sans doute pas de mal à trouver de la magie parmi les arbres. [Eowyn Ivey]X
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LA FILLE DE L'HIVER, de Eowyn Ivey
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Auteur : Eowyn Ivey
Titre : La fille de l'hiver
Edition : 10/18
Page : 447  _ Date de parution : 2012
Genre : histoire de vie
Résumé : Pour oublier la mort de leur bébé, Mabel et Jack s'exilent en Alaska. Mais sur ces terres sauvages, le couple s'enferme dans sa douleur. Jusqu'à ce soir d'hiver ou il sculpte un bonhomme de neige : une petite fille apparaît près de leur cabane, talonnée par un renard roux. Hallucination, miracle ? Et si cette enfant farouche était la clé d'un bonheur qu'ils n'attendaient plus ? 

Premier roman éblouissant, au réalisme poétique et à l'écriture élégante, La fille de l'hiver est un conte intemporel, hanté par le désir et le merveilleux. Ensorcelant. [résumé quatrième de couverture] 
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Mon avis : Me voilà encore pour une chronique littéraire, cette fois si sur le roman « La fille de l'hiver » d'Eowyn Ivey. Pour l'instant je ne sais pas trop ce que je vais écrire dans ma chronique, à vrai dire. Vous le verrez plus tard, si vous continuez de lire, du début jusqu'à la fin, ma chronique. Cela me semble naturel. Bref, c'est un livre que j'ai vraiment apprécié, je ne suis pas perplexe ni rien, peut-être un brin déçu tout de même par la fin, mais je vais vous l'expliquer plus tard. 

Commençons donc pour de la première de couverture, pour ma part elle m'a donné très envie. Je l'ai trouvé très simple, très épuré, mais totalement en accord avec le thème du livre en faites, totalement dans le thème de l'Alaska. Et puis la petite fille qui court accompagné (ou après, je ne sais pas trop) du renard dans un paysage de neige et de blanc, c'est exactement ça, c'est exactement l'histoire.
 
Passons maintenant au résumé (si je parle de la première de couverture et du résumé c'est que ça me semble important dans parler, sinon je n'en parlerai pas, voyez-vous, je ne l'écris pas dans ma chronique juste pour faire un peu plus de mots dans ma chronique, histoire qu'elle soit aussi longue – voir plus – que les autres, mais je pense que vous comprenez, gens qui lisaient), pour ma part, je ne sais pas vous, mais je l'ai trouvé très intrigante, très attirante. Déjà l'Alaska, l'Arrière Pays, le grand nord, l'évasion, mais la dangerosité, ce monde qui nous ne connaissons pas, pauvre Français que nous sommes. A vrai dire c'est un état américain qui me fait très envie. Ensuite, l'histoire d'une petite fille dites de neige, ça fait vieux conte pour enfant (d'ailleurs, c'est inspiré d'un conte pour enfant), et ça me plaît beaucoup aussi. Donc, rien que pour le résumé et la première de couverture, c'est un grand « oui » pour moi !
 
Pour l'histoire du roman. Vous avez lu le résumé déjà, qui donne envie. Il résumé assez bien le livre tout en donnant très envie de le lire. Mais je vais recommencer, et vous raconter l'histoire ici, tout de même (même si je doute que, si vous avez déjà lu jusque là, que vous n'ayez pas lu le résumé). Il s'agit donc de l'histoire de Jack et de Mabel, après qu'ils aient perdu leur enfant (ce qui est un véritable traumatisme pour eux), ils ont déménagés en Alaska mais le manque est toujours là, pour l'un comme pour l'autre. Un soir, ils font un bonhomme de neige qui ressemble à une petite fille, le lendemain, une petite fille apparaît avec un renard roux. C'est à peu près ça, sans l'intrigue, comme « comment est-elle apparue ? » ou « Qui est-elle? », etc.
 
C'est vraiment une très belle histoire, qui comme je l'ai dis plus haut peut faire penser à un vieux conte pour enfant, en partie du moins. L'histoire se passe dans les années trente, c'est déjà une époque que j'apprécie beaucoup, et puis en Alaska. Je ne vais pas m'étendre pour mon amour pour cette endroit, désolé. Mais comme je disais, c'est une très belle histoire, on s'y prend dedans tout de suite en faites, on sent les choses, on les voient, on les touchent, vraiment, c'est aussi dans l'écriture de l'auteur, certes, mais c'est tellement bien décrit, qu'on se croirait nous aussi dans les terres dangereuses de l'Alaska. C'est un énorme point fort du livre. C'est un livre que, tout le long de ma lecture, j'avais vraiment envie de voir en film ! Vous avez déjà ressentis ce sentiment où vous avez lisez un livre et qui vous avez absolument envie de le voir en film ? Eh bien c'est ce que j'ai ressentis.
 
Par contre, la fin m'a un peu déçue à vrai dire. Je l'avais un peu imaginer comme ça, certes. Mais elle est très étrange. Après, j'imagine que c'est une histoire de goût car elle n'est pas « hors sujet », elle est dans le thème. Mais ce n'est pas très clair. Et ensuite, je m'attendais à ressentir plus d'émotions, surtout à la fin. J'ai un peu ris, j'ai étais un peu triste. En faites, c'est plein de « un peu », mais c'est pas « beaucoup ». Mais peut-être était-ce un choix de l'auteur de ne pas tout « mélodramatisé », choix que je comprend parfaitement. Et finalement, je me demande si c'est vraiment un défaut, en y pensant, ça peut aussi être une qualité à vrai dire. Personnellement, je n'ai pas besoin de pleurer comme une madeleine ou de rire aux éclats pour adorer un livre. En tout cas, c'est globalement un très bon avis pour l'histoire !
 
Parlons à présent des personnages. Il y a tout d'abord le couple Mabel et Jack. On ne connaît pas leur nom. C'est un couple vraiment attachant, on s'adapte à eux et ils sont vraiment très agréable à suivre. En faites, on comprend ce qu'ils ressentent. C'est vraiment eux qu'on suit quasiment tout le long du livre. Et on s'attache vraiment à eux. C'est un couple de gens d'un âge assez avancé, environ la cinquantaine au début de l'histoire, quelque chose comme ça. Ils ont vécu un drame (leur enfant est mort à la naissance). Et on s'intéresse et on comprend leur douleur. C'est vraiment bien décrit. Je l'ai est tous les deux aimer, parfois plus Mabel, parfois plus Jack, finalement, tout les deux autant.
 
Il y a ensuite « la fille de l'hiver », Faïna. Elle est vraiment, quant à elle, fascinante, très intéressante à suivre. On aime les passages avec elle, c'est surtout par le biais de ce personnage qu'on rentre dans l'univers de l'Alaska, qui est vraiment bien retranscris. On comprend sa vie, et elle est passionnante. Elle ne nous paraît pas réellement comme humaine, plutôt comme un être magique, un peu comme la vois Mabel et Jack en faite. On s'attache vraiment à elle également et on l'apprécie énormément. Elle rapporte vraiment un brin de lumière de la lecture.
 
Je passe désormais à la plume de l'auteure. Elle est assez raffiné, très facile à comprendre, je trouve. Mais très belle aussi, assez poétique à vrai dire. J'ai vraiment aimé. L'auteure retranscris très bien l'univers de l'Alaska a travers une plume élégante et poétique. Elle nous fait sentir les odeurs, elle nous fait voir les paysages et la neige et la beauté de l'Alaska comme si on y était, et c'est vraiment agréable. C'est un point vraiment positif ici. Elle arrive vraiment bien à nous faire ressentir les choses, les émotions.
 
En bref, c'est un livre que je vous conseille beaucoup. Si vous avez l'occasion de l'acheter ou de l'emprunter, n'hésitez pas une seconde, foncez ! Vous êtes garantis de passer un excellent moment en lisant ce livre, avec une tasse de chocolat chaud à la main, en hiver (oui, je l'ai lu en été, il est très bien aussi en été!). L'histoire est vraiment belle et agréable, les personnages sont attachants et la plume de l'auteure est vraiment élégante et raffiné. En lisant ce livre, vous allez voir et ressentir, en somme, vivre l'Alaska sans même bouger de votre fauteuil/lit/place de bus ou de métro/toilettes/salle de cours/plage/etc.
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L'âge venant, je me rends compte que la vie est souvent plus fantastique et plus cruelle que tout ce à quoi nous croyions enfants, et qu'il n'y a sans doute pas de mal à trouver de la magie parmi les arbres. [Eowyn Ivey]      Ma note : 8,75/10 
      Votre note : ?/10 
 
 
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#Posté le vendredi 11 juillet 2014 08:33

Modifié le mercredi 20 août 2014 13:53

I am not an elephant! I am not an animal! I am a human being! I am a man! [Elephant Man]

 I am not an elephant! I am not an animal! I am a human being! I am a man!  [Elephant Man]/
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ELEPHANT MAN, film de David Lynch
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Réalisateurs et acteurs principaux : David Lynch et John Hurt, Anthony Hopkins.
Genre : Drame, biopic   _ Durée : 2h05
Année de production : 1980
Résumé : Londres, 1884. Le chirurgien Frederick Treves découvre un homme complètement défiguré et difforme, devenu une attraction de foire. John Merrick, " le monstre ", doit son nom de Elephant Man au terrible accident que subit sa mère. Alors enceinte de quelques mois, elle est renversée par un éléphant. Impressionné par de telles difformités, le Dr. Treves achète Merrick, l'arrachant ainsi à la violence de son propriétaire, et à l'humiliation quotidienne d'être mis en spectacle. Le chirurgien pense alors que " le monstre " est un idiot congénital. Il découvre rapidement en Merrick un homme meurtri, intelligent et doté d'une grande sensibilité. [résumé allociné]
 
Mon avis : Ainsi, voilà que j'écris la chronique du film de David Lynch du nom de « Elephant Man ». Pour vous faire part de la petite histoire, j'avais déjà vu ce film, il y a plus ou moins un an de cela. Mais je n'avais pas écris la chronique, parce que je n'aurais pas su décrire la nature de mes sentiments avec assez de justesse. A voir si aujourd'hui j'y arriverais mieux. A vrai dire, après le premier visionnage de ce film, je ne voulais plus de le revoir pendant longtemps, car je l'avais trouvé vraiment... affreux. Pas dans le sens qu'il est horrible, mais que je n'avais pas le courage de le revoir une seconde fois vu comment j'avais pleuré. Car j'ai pleuré la majeur partie du film. Non pas des larmes de tristesse (enfin si, un peu tout de même), mais surtout des larmes de douleur, qui me prenait du fond de la gorge. Il m'a en quelque sorte traumatisé, non pas qu'il comporte des scènes choquantes à la vue, mais il a vraiment heurté ma sensibilité par son histoire. Rassurez-vous, il n'y a pas de sang, pas de choses qui peuvent vous donner très légèrement l'envie vomir dans votre bouche (alors que c'est le but de certains films d'horreur, ce que je ne comprend absolument pas, où le but est de pouvoir voir ce que notre corps est capable de faire...). En tout cas, j'ai décidé de le regarder une deuxième fois, après de brèves hésitations, je l'ai regardé.
 
Parlons avant tout de l'histoire. Il me semble avant tout important de vous dire que c'est une histoire vraie, qui c'est réellement passé et des personnages qui ont réellement existés. Bref, il s'agit donc de l'histoire de John Merrick, un homme atteint d'une maladie qui fait que ses os ont continué de poussé, entraînant d'horribles difformités sur son corps, lui donnant une tête énorme, un bras et une jambe atrophiés. En sommes, il est défiguré. Se déroulant à la deuxième moitié du XIXe siècle dans le Londres industriel (il me semble, je ne suis plus trop sûre), il est d'abord présenté comme une bête de foire, simplement placé dans une cage où il doit se montrer à des curieux. Jusque ce qu'un médecin du nom de Frederick Treves ne le remarque, et ne le garde sous son aile. D'abord se servant de lui pour avoir une reconnaissance auprès de ses pairs, ensuite car il l'apprécie. A vrai dire, durant toute la longueur du film, je me suis dis que le monstre n'est pas celui que l'on croit. C'est bien connu, les critiques sur le physique des gens c'est l'arme du pauvre d'esprit. Ici, les gens ont peur de John comme John a peur de son propre reflet dans le miroir. Ici, l'on peut clairement remarquer que les hommes « normaux », disons simples et vivants dans la morosité de leurs vies monotones, ont besoin de voir le malheur des autres pour se sentir forts et heureux. Ils voient un homme différent, que la nature n'a malheureusement pas gâtée d'un physique avantageux, et c'est dans le malheur de l'homme qui diffère d'eux qu'ils sentent beaux et forts.
 
Le film en lui-même est en noir et blanc. Non pas que ce soit un vieux film, il n'a qu'un peu plus de trente ans à vrai dire (1980). Le choix de la couleur est en faites un atout dans l'histoire, il rajoute un peu plus dans le côté atypique de l'histoire, il donne un charme de plus au film. Car il aurait pu être tourné en couleur, car les films en couleur existait déjà depuis assez longtemps lorsque le film a était tourné. Mais il me semble que c'est assez logique, finalement. Que c'est en adéquation avec l'univers.
 
Parlons maintenant de la musique. Eh bien, elle est belle, elle est vraiment en adéquation elle aussi avec l'univers du film, elle renforce justement cette univers. J'ai beaucoup aimé cette musique de cirque, de foire et celle à grand renfort de violons. Je n'ai pas grand chose à dire à ce sujet, mais je trouve que les deux mélodies principales sont vraiment très jolies. Vous pourrez les écouter en bas de l'article si vous le voulez.
 
Il s'agit maintenant de parler des personnages. Je vais simplement parler du personnage principal : John Merrick. Même si il y a aussi Frederick Treves, dont je parlerais un peu mais pas beaucoup. Parlons tout d'abord de John Merrick. Pour ne pas trop en dire, il m'a chaviré le c½ur, à plusieurs reprises j'ai eue envie de lui faire un calin et hurler mon mécontentement aux gens qui ne voient en lui qu'un monstre, de les insulter... et de rassurer ce pauvre John qui n'a rien demandé. C'est un homme malheureusement raffiné et intelligent, il aurait mieux fallut pour lui que ce soit le contraire... Bref, c'est vraiment un personnage auquel tu t'attaches vraiment, et je ne sais pas vraiment si je m'y suis identifié, je pense que si, un peu. En tout cas c'est un personnage incroyable qui te prend vraiment aux tripes. Et je vais ensuite vous parler rapidement de Frederick Treves. Il s'agit du médecin qui s'occupe de John. C'est celui qui le sort de sa misère, c'est son ami. Au début, bien qu'assez mitigé, on l'apprécie assez, alors qu'il me semblait quand même assez opportuniste, se servant de John pour avoir de la renommé en tant que chirurgien auprès de ses pairs. Ensuite on l'apprécie, on s'attache aussi à lui et on s'identifie à lui.
 
En sommes, je vous conseille énormément de voir ce film, il s'agit justement d'un des films qui m'a le plus touché ! A tel point que je n'ai pas voulu le voir une deuxième avant d'être prête en faites. De ne pas m'habituer à ce film pour éprouver toujours d'aussi vives émotions que la première fois que je l'ai vu. Pour moi il s'agit d'un coup de c½ur, et je ne serais vraiment pas étonné que ce soit également un coup de c½ur pour vous. J'espère qu'à travers ma chronique j'ai réussie à vous expliquer combien je l'ai aimé et combien je l'ai trouvé terrible mais nécessaire. Il doit être vue au moins une fois dans sa vie.

Ma note : 9,5/10
Votre note : 8/10 (1 note)
Soundtrack : The Elephant Man Theme - The Belgian Circus Episode
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Bande annonce (avec chanson du Seigneur des Anneaux, 'tention !)
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#Posté le samedi 19 juillet 2014 13:55

Modifié le jeudi 11 septembre 2014 07:44

L'âge vous fait voir certaines choses. Par exemple, je sais maintenant que la vie humaine se divise fondamentalement en trois périodes. Dans la première, on ne pense pas que l'on va vieillir, ni que le temps passe, ni que, dès le premier jour, celui de notre naissance, nous marchons vers une seule et unique fin. [Carlos Ruiz Zafon]

L'âge vous fait voir certaines choses. Par exemple, je sais maintenant que la vie humaine se divise fondamentalement en trois périodes. Dans la première, on ne pense pas que l'on va vieillir, ni que le temps passe, ni que, dès le premier jour, celui de notre naissance, nous marchons vers une seule et unique fin. [Carlos Ruiz Zafon]X
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LE PRINCE DE LA BRUME, de Carlos Ruiz Zafon
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Auteur : Carlos Ruiz Zafon
Titre : Le prince de la brume
Edition : Pocket
Page : 187  _ Date de parution : 2012
Genre : Fantastique, policier, aventure, horreur.
Résumé : 1943. Menacée par la guerre, la famille Carver gagne la côte anglaise et emménage dans une belle maison de station balnéaire. Mais un démon les y a précédés... Intrigués par l'histoire trouble de la maison et ses ombres rôdeuses, Max et Alicia, les enfants Carver, explorent les alentours : le jardin aux statues si expressives, l'épave du cargo échoué dans la baie... De redoutables secrets les attendent. D'un Prince, surgi de la brume, la malédiction attend son accomplissement. [résumé quatrième de couverture] 
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Mon avis : Voila plusieurs mois que « le prince de la brume » traîne dans ma bibliothèque et il fallait que je le lise pour découvrir l'auteur et son univers. Je ne savais pas trop à quoi m'attendre, et je ne sais pas si c'est à cause de cela mais j'avoue ne pas être déçue de ma lecture ! Je vais vous expliquer tout ça un peu plus en détail. Ensuite, c'est un livre que j'ai eue gratuitement, après avoir acheté plusieurs livres de la même édition j'avais un cadeau : je pouvais choisir un livre que je pourrais lire gratuitement, bien sur, pas n'importe quel livre, il y avait une liste, mais j'ai choisi d'acheter celui-ci. 

Tout d'abord, je trouvais le résumé et la couverture assez attractives. Le résumé est attirant et donne envie qu'on le lise, selon moi. Et la première de couverture donne quelque chose d'ancien, de vintage, mais à la fois d'assez effrayant dans les couleurs et dans le paysage. Après, est-ce que c'est à l'image du livre, je ne serais que dire ! Après tout, heureusement que le livre est mieux que sa première de couverture, le cas contraire serait franchement dommage.
 
Passons donc à l'histoire. J'ai beaucoup aimé, cela faisait longtemps que je n'avais plus lu une histoire qui fait peur. Mais à vrai dire, ce roman (assez court, d'ailleurs, je devais le préciser) a plusieurs genre. Disons qu'il y a surtout du fantastique, de l'horreur et de l'aventure, mais également du romantique, du suspens, du gothique et du policier. Voila, c'est un peu tout ça à la fois. Et ce mixte de genre a donné naissance à un livre vraiment très agréable à lire, qui nous fait sourire et nous effraie et nous rend parfois triste. Comme je le disais un peu plus haut, cela faisait assez longtemps depuis le dernier livre effrayant que j'ai lu, et c'est assez rafraîchissant de m'y être remis. Pour vous remettre l'histoire, c'est la famille Carver qui déménage dans une petite ville côtière d'Angleterre. Maximilian Carver, le père, a décidé de partir loin de la capitale à cause de la Seconde Guerre Mondiale. Il s'agit d'une grande maison avec un passé assez tourmentant (du genre que j'aurais peur d'y voir des fantômes). Lorsque tout le monde s'installe dans la maison des choses étranges se passent et de redoutables secrets refont surface. C'est avant tout l'histoire de Max et de Alicia Carver, frère et s½ur, et de Roland, un ami. Globalement, j'ai étais a de multiples reprises angoissée. J'ai trouvé l'histoire fascinante, étrange, avec son lot de mystères, et tout cela a fait que j'ai eue du mal à lâcher le livre, certes il est court, mais je l'ai lu très rapidement parce que je l'ai trouvé vraiment passionnant ! Tout se passe très vite.
 
Ensuite il y a les personnages principaux. J'aime beaucoup la famille Carver : Irina, Max, Alicia, Maximilian et Andrea Carver. Mais les véritables personnages principaux reste Max, Alicia et Roland. Max est le petit frère d'Alicia, et Roland un ami qu'ils ont rencontré dans leur nouvelle ville. Max avant tout est vraiment le personnage que l'on suit tout le long de l'histoire. On s'y attache beaucoup, il est vraiment agréable à suivre. Je l'ai trouvé très courageux. C'est vraiment un personnage que j'ai apprécié. Mais mon personnage préféré est Alicia. Je me suis vraiment adapté à ce personnage, je me suis mise à sa place. Et enfin, il y a Roland, lui aussi je l'ai trouvé très agréable à suivre, c'est un personnage qui a son lot de surprises.
 
Quant à la plume de l'auteur, j'ai beaucoup aimé. C'est facile à lire mais pas trop simple. C'est très bien écrit. Il a une très jolie plume. J'ai trouvé ce livre très agréable à lire, je me suis laissé bercé par les phrases de l'auteur. Il a sut rendre son récit captivant.
 
Dans tous les cas, je ne peux que vous conseiller ce court roman dont le nombre de pages ne devraient normalement pas vous effrayer. L'histoire est vraiment captivante. Pour ma part j'ai eue du mal à m'arrêter de lire, je l'ai littéralement mangé. Les personnages sont très agréables à suivre et la plume de l'auteur est très jolie. Ce serait avec plaisir que je lirais d'autres romans de cet auteur !
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Ma note : 8,5/10 
Votre note : ?/10 
 
 
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#Posté le mercredi 23 juillet 2014 08:11

Modifié le jeudi 11 septembre 2014 07:47

Maybe there's something you're afraid to say, or someone you're afraid to love, or somewhere you're afraid to go. It's gonna hurt. It's gonna hurt because it's matters. [John Green]

Maybe there's something you're afraid to say, or someone you're afraid to love, or somewhere you're afraid to go. It's gonna hurt. It's gonna hurt because it's matters. [John Green]
Maybe there's something you're afraid to say, or someone you're afraid to love, or somewhere you're afraid to go. It's gonna hurt. It's gonna hurt because it's matters. [John Green]
John Green naît en 1977, et grandit en Floride avant de partir en Alabama dans un pensionnat. Il fait ensuite des études de littérature et de théologie, et devient pendant six mois aumônier dans un hôpital pour enfants incurables. Il décide que cette vie n'est pas pour lui et s'oriente vers la radio et la critique littéraire. C'est à l'âge de vingt-cinq ans qu'il écrit son premier roman, "qui es-tu, Alaska ?" et remporte le prestigieux M. L. Printz Award du meilleur livre pour adolescents. Ce titre ne cesse, depuis, de figurer sur la liste des bestsellers dans plus de trente pays. Il est comparé à l'emblématique "Attrape-coeurs" de Salinger et l'intelligence de ce créateur de personnages attachants, garcons brillants et bourrés d'humour, filles charismatiques et compliquées, se posant de facon insatiable les grandes questions de la vie, suscite immédiatement l'admiration des critiques, libraires et lecteurs.  Peu d'auteurs savent à ce point restituer la profondeur émotionnelle de l'adolescence.

D'une énergie inouïe, il créée en 2007 avec son frère, Hank, une chaîne de vidéos en ligne qui sont prétextes à des discussions tous azimuts sur tous les sujets (de la guerre en Centrafrique à Justin Bieber). Connue aujourd'hui sous le nom de Vlogbrothers. Après trois autres romans, John publie, en 2012, "Nos étoiles contraires". Ce dernier domine les listes des meilleures ventes et est traduit dans près de cinquante langues. Il est aujourd'hui adapté au cinéma.

John vit à Indianapolis avec sa femme, Sarah, et leurs deux enfants, Henry et Alice.
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Maybe there's something you're afraid to say, or someone you're afraid to love, or somewhere you're afraid to go. It's gonna hurt. It's gonna hurt because it's matters. [John Green]
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Maybe there's something you're afraid to say, or someone you're afraid to love, or somewhere you're afraid to go. It's gonna hurt. It's gonna hurt because it's matters. [John Green]


QUI ES-TU, ALASKA ? - Miles Halter a seize ans mais n'a pas l'impression d'avoir vécu. Assoiffé d'expériences, il quitte le cocon familial pour le campus universitaire : ce sera le lieu de tous les possibles, de toutes les premières fois. Et de sa rencontre avec Alaska. La troublante, l'insaisissable Alaska Young, insoumise et fascinante. Amitiés fortes, amour, transgression, quête de sens : un roman qui fait rire, et fondre en larmes l'instant d'après...
 
« Le défi en écrivant "Qui es-tu Alaska?" était de comprendre qu'un roman est là pour révéler la vérité, sans se préoccuper des faits. Car, pour citer William Faulkner : "C'est la vérité qui m'intéresse, pas les faits"» (John Green).
 
 
 
 
Ma chronique sur ce livre
 
 
 
 

LE THÉORÈME DES KATHERINE - Surdoué pas sûr de lui, Colin est aussi un amoureux acharné. Il ne s'entiche que de filles prénommées Katherine, et il vient juste de rompre avec la... dix-neuvième ! Ce sont heureusement les vacances, et son copain Hassan, décidé à lui changer les idées, l'emmène pour un voyage en voiture, sans but précis. Ils parviennent finalement à Gutshot, dans le Tennessee, où l'archiduc François-Ferdinand serait enterré. Ils y rencontrent Lindsey, fille d'une propriétaire d'usine de cordons de tampons hygiéniques. Contre des interviews d'habitants de Gutshot destinées à composer la mémoire de la petite ville, ils vont être nourris et logés. L'occasion rêvée pour Colin d'enfin mettre au point un théorème qui prendrait en compte tous les paramètres amoureux possibles, afin de prédire les ruptures... [résumé de ricochet-jeunes]
 
 


Ma chronique sur ce livre




Maybe there's something you're afraid to say, or someone you're afraid to love, or somewhere you're afraid to go. It's gonna hurt. It's gonna hurt because it's matters. [John Green]


LA FACE CACHÉE  DE MARGO - Margo Roth Spiegelman, le nom aux six syllabes qui fait fantasmer Quentin depuis toujours. Alors forcément, quand elle s'introduit dans sa chambre, une nuit, par la fenêtre ouverte, pour l'entraîner dans une expédition vengeresse, il la suit.
Mais au lendemain de leur folle nuit blanche, Margo n'apparaît pas au lycée. Elle a disparu.

Quentin saura-t-il décrypter les indices qu'elle lui a laissés pour la retrouver? Plus il s'en approche, plus Margo semble lui échapper...
 
 
 
 
 
 
Ma chronique sur ce livre

 
 
 
Maybe there's something you're afraid to say, or someone you're afraid to love, or somewhere you're afraid to go. It's gonna hurt. It's gonna hurt because it's matters. [John Green]

WILL ET WILL - Will Grayson se méfie des sentiments. Les histoires de c½ur portent la poisse, tout le temps. Alors quand son meilleur ami, l'exubérant, très corpulent et très, très homo Tiny Cooper, fait tout pour le fourrer dans les bras de Jane, il se dit que cette fille est jolie, marrante et sympa mais... pas du tout son type.

De l'autre côté de Chicago, un certain Will Grayson (rien à voir avec le premier!) se sent plus mort que vivant : il vient d'apprendre que celui qui le faisait fantasmer sur sa messagerie n'a jamais existé...
 
Tout sur la recherche de soi, l'identité sexuelle et la complexité des relations entre adolescents : espoirs et déceptions, douleurs et jubilations... Un cocktail explosif d'émotions fortes, de pensées intimes, de situations folles et de dialogues hilarants. Un roman initiatique brillantissime!
 
 
 
Ma chronique sur ce livre
 
 
 
 
 
NOS ÉTOILES CONTRAIRES - Hazel, 16 ans, est atteinte d'un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l'évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C'est là qu'elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature.

Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d'Hazel, qui a peur de s'impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d'amour commence... les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.
 
 
 
 
Ma chronique sur ce livre
 
 
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Biographie éditions Gallimard Jeunesse
résumé éditions Gallimard Jeunesse et éditions Nathan.
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#Posté le samedi 26 juillet 2014 09:50

Modifié le dimanche 28 septembre 2014 14:08

Ses archives (96)

  • Pour finir, tout le monde perd tout le monde. Il n'y avait pas d'invention pour dépasser ça, et alors, cette nuit-là, je me suis senti comme la tortue qui a tout le reste de l'univers sur son dos. [Jonathan Safran Foer] dim. 27 juillet 2014
  • On ne supporte plus aujourd'hui de voir des acteurs exprimer de fausses émotions. On s'est lassés de la pyrotechnie et des effets spéciaux. Et même si le monde dans lequel il évolue est plus ou moins artificiel, en ce qui le concerne, Truman ne triche jamais. Aucun script, aucune note. Ce n'est pas toujours du Shakespeare, mais c'est authentique. C'est la vie d'un homme. [The Truman Show] ven. 01 août 2014
  • N'avaient-ils pas de famille ? Pas d'enfants ? Des enfants qu'ils retrouvaient le soir à la maison ? Comment pouvaient-ils les traiter de la sorte ? Agissaient-ils sur ordre ou était-ce chez eux quelque chose de naturel ? Étaient-ils des machines ou des êtres humains ? Elle les scruta attentivement. Ils étaient faits de chair et de sang. Pas de doute, c'était bien des hommes. Elle ne comprenait pas.  [Tatiana De Rosnay] sam. 30 août 2014
  • Buckley s'est écarté et a regardé le visage chiffonné de mon père, les fines taches luisantes de larmes au coin de ses yeux. Il a hoché la tête, l'air sérieux, et lui a embrassé la joue. Quelque chose de tellement céleste que personne au paradis n'aurait pu l'inventer ; le soin qu'un enfant prenait d'un adulte. [Alice Sebold] mar. 02 septembre 2014
  • Elle haïssait l'amour qui lui avait été donné - parce qu'il ne demandait rien en échange -, ce qui est absurde, irréaliste, contraire aux lois de la nature. [Paulo Coelho] mar. 02 septembre 2014
  • J'ai répondu cependant que j'avais un peu perdu l'habitude de m'interroger et qu'il m'était difficile de le renseigner. Sans doute, j'aimais bien maman, mais cela ne voulait rien dire. Tous les êtres sains avaient plus ou moins souhaité la mort de ceux qu'ils aimaient. [Albert Camus] lun. 22 septembre 2014
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