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Quel monde terriblement hostile un rat doit-il endurer. Cependant non seulement il survit, mais il prospère. Parce que ce petit idiot a un instinct de survie et de préservation inégalé. Ça, Monsieur, est ce qu'un juif partage avec un rat. [Inglourious Basterds]

Quel monde terriblement hostile un rat doit-il endurer. Cependant non seulement il survit, mais il prospère. Parce que ce petit idiot a un instinct de survie et de préservation inégalé. Ça, Monsieur, est ce qu’un juif partage avec un rat. [Inglourious Basterds]/
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INGLOURIOUS BASTERDS, film de Quentin Tarantino
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Réalisateur et acteurs principaux : Quentin Tarantino et Christoph Waltz, Brad Pitt, Mélanie Laurent.
Genre : Film de guerre, uchronie  _ Durée : 2h33
Année de production : 2009
Résumé : [Interdit aux moins de 12 ans]
Dans la France occupée de 1940, Shosanna Dreyfus assiste à l'exécution de sa famille tombée entre les mains du colonel nazi Hans Landa. Shosanna s'échappe de justesse et s'enfuit à Paris où elle se construit une nouvelle identité en devenant exploitante d'une salle de cinéma.

Quelque part ailleurs en Europe, le lieutenant Aldo Raine forme un groupe de soldats juifs américains pour mener des actions punitives particulièrement sanglantes contre les nazis. "Les bâtards", nom sous lequel leurs ennemis vont apprendre à les connaître, se joignent à l'actrice allemande et agent secret Bridget von Hammersmark pour tenter d'éliminer les hauts dignitaires du Troisième Reich. Leurs destins vont se jouer à l'entrée du cinéma où Shosanna est décidée à mettre à exécution une vengeance très personnelle... [Allociné]

Mon avis : Un très bon film ! Mon deuxième de Tarantino, et je ne suis vraiment pas déçue ! Je vais commencer par les acteurs, qui, je trouve, sont vraiment tous très bons. Mention spéciale à Christoph Waltz qui m'avais déjà beaucoup plu de Django Unchained ! Son accent allemand (à mon grand regret, je l'ai regardé en français, mais sans, je sais pas si j'aurais pu entendre son magnifique accent allemand lorsqu'il parle en français), car dans la VF il s'est lui-même doublé, est vraiment trop adorable ! Il est vraiment, dans ce film, au meilleur de sa forme. Brad Pitt n'est généralement pas un acteur dont j'aime réellement regarder les films dans lesquels il joue, mais là, je dois avouer qu'il était très bon. Mélanie Laurent avait beaucoup de classe je trouve, je l'a connaissais très peu, et je ne pouvais pas réellement juger son jeu d'acteur, et là, je dois dire que j'aime beaucoup. Les autres acteurs allemands, tel que Daniel Brühl et Diane Kruger sont très bon aussi.

Je vous passer à l'histoire, le scénario. Le film est découpé en cinq chapitres, et chaque partie est très intéressante. L'histoire est bien ficelée ! Les costumes et les décors sont très réussis et nous ramène directement aux années 40. La qualité de l'image est splendide, et comme à son habitude, Tarantino n'a pas hésité à mettre beaucoup de sang. Et comme dans Django Unchained, par je ne sais quel procédés, il réussit à faire d'une scène sanglante une véritable oeuvre d'art (ce n'est pas l'avis de tout le monde, je le conçois) ! J'ai ressentis du stress vers la fin, lorsque l'action ne va pas tarder à se dérouler (je ne dirais rien de plus, anti-spoilage!). Et là dernière scène dans le cinéma est vraiment très bien! Quant à la scène finale, j'ai beaucoup aimé, le dernier plan est surprenant ! L'ambiance du film en général est incroyable.

Ma note : 9/10
Votre note : 8,55/10 (7 notes)
Soundtrack : White Lightning, de Charles Bernstein _ The Green Leaves Of Summer, de Nick Perito _ Ich Wollt Ich Wär Ein Huhn - Lillian Harvey _ Cat People (Putting Out The Fire) - David Bowie.
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Bande annonce


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#Posté le vendredi 05 juillet 2013 15:41

Modifié le mardi 11 novembre 2014 11:37

J'suis fatigué d'courir les routes et d'être seul comme un merle sous la pluie. De pas avoir un camarade avec qui marcher ou pour me dire où on va et pourquoi. J'suis fatigué de voir les gens se battre entre eux. C'est comme si j'avais des bouts de verre dans la tête. [Stephen King]

J'suis fatigué d'courir les routes et d'être seul comme un merle sous la pluie. De pas avoir un camarade avec qui marcher ou pour me dire où on va et pourquoi. J'suis fatigué de voir les gens se battre entre eux. C'est comme si j'avais des bouts de verre dans la tête. [Stephen King]/
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LA LIGNE VERTE, de Stephen King
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Auteur : Stephen King
Titre : La Ligne Verte
Edition : France Loisirs
Page : 546  _ Date de parution : mars 1996 - août 1996
Genre : Fantastique, drame
Résumé : Dans le bloc E, l'agitation est à son comble. Chacun à leur tour, les nouveaux arrivants font connaissance avec cette atmosphère si particulière. Entre les trois détenus, qu'ils soient innocents, coupables ou dotés de pouvoir paranormaux, entre cette étrange souris, Mister Jingles et les gardiens, ce couloir de la mort n'a pas fini de nous surprendre...Paul Edgecombe, ancien gardien-chef d'un pénitencier dans les années 30, entreprend d'écrire ses mémoires. Il revient sur l'affaire John Caffey - ce grand Noir au regard absent, condamné à mort pour le viol et le meurtre de deux fillettes - qui défraya la chronique en 1932. La ligne verte est le reflet d'un univers étouffant et brutal, où la défiance est la règle. Personne ne sort indemne de ce bâtiment coupé du monde, où cohabitent une étrange souris apprivoisée par un Cajun pyromane, le sadique Percy Wetmore avec sa matraque et Caffey, prisonnier sans problème. Assez rapidement convaincu de l'innocence de cet homme doté de pouvoirs surnaturels, Paul fera tout pour le sauver de la chaise électrique. [stephenking999.com]
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Mon avis : Encore du Stephen King ! Bon, pour commencer, je dois avouer que je n'est jamais autant pleuré devant un livre. J'ai tendance, en regardant un film ou en lisant un livre, à ressentir vivement les émotions lorsque celui-ci est bien fait, bien écrit, et qu'il prend aux tripes. Ce fut le cas pour La Ligne Verte. J'ai déjà beaucoup pleuré devant le film, mais je n'aurais pas imaginé que j'aurais pleuré devant le livre. Surprenant. Je deviens émotive à ce qu'il pourrait. Bref, on ressent toutes les émotions très vivement. Ce fut le cas pour moi. Stephen King, qui d'habitude, écrit surtout de l'horreur, écrit ici une suite de livre qui ne fait pas parti de ce genre (d'ailleurs, je n'ai pas lu en roman-feuilleton, mais simplement en feuilleton). Il s'en sort formidablement bien. 
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L'histoire se déroule à la fois dans le passé, en 1932, et aussi actuellement, enfin, à l'époque du roman, en 1996, dans une maison de retraite, en compagnie du personnage principal, Paul Edgecombe. Bien qu'une majeur partie de l'ouvrage se déroule dans le passé, car c'est l'histoire principal, les passages dans la maison de retraite son très intéressant à lire. Les personnages sont tous très différents, certains sont attachant, d'autres sont répulsif. Edouard Delacroix, malgré son crime, m'a notamment beaucoup touché. Surtout avec Mister Jingles. Forcément, John Caffey aussi, est très attachant. Quant à Percy Wetmore, on n'a juste envie de lui donner des baffes. Et Wharton, pareil. Ainsi que Brad Dolan. Il n'y a pas beaucoup d'action, mais le livre n'est pas long et ennuyeux pour autant. Le côté surnaturel est très bien intégré dans le roman, de sorte que ça s'accorde parfaitement dans l'histoire. Comme le livre se déroule dans un pénitencier, plus encore, dans le couloir de la mort (la peine de mort), le livre est par certain moment très dur. Le livre nous fait réfléchir sur la peine de mort, et la ségrégation raciale.
Dans tous les cas, un très bon livre, que je conseille à tout le monde ! 
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Ma note : 9/10
Votre note : 9,93/10 (10 notes)
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bande annonce du film
chronique de Wolkaiw
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#Posté le samedi 06 juillet 2013 14:57

Modifié le mardi 14 juillet 2015 11:22

Elle pensait à ce qu'elle venait de vivre, à tous ces gens aux destins complexes qui se croisaient sans jamais se rencontrer, à l'injustice et à la force de la combattre. [Pierre Bottero]

Elle pensait à ce qu'elle venait de vivre, à tous ces gens aux destins complexes qui se croisaient sans jamais se rencontrer, à l'injustice et à la force de la combattre. [Pierre Bottero]
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LA QUÊTE D'EWILAN, de Pierre Bottero
Tome 1 : d'un monde à l'autre.
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Auteur : Pierre Bottero
Titre : La quête d'Ewilan, tome 1 : D'un monde à l'autre
Edition : Rageot Poche
Page : 281  _ Date de parution : 2003
Genre : Fantasy, jeunesse
Résumé : Accidentellement dans l'univers de Gwendalavir avec son ami Salim.Là, des créatures menaçantes, les Ts'liches, la reconnaissent sousle nom d'Ewilan et tentent de la tuer. Originaire de ce monde, elle est l'unique héritière d'un don prodigieux, le Dessin, qui peut s'avérerune arme déterminante dans la lutte de son peuple pour reconquérir pouvoir, liberté et dignité. Épaulée par le maître d'armes de l'Empereur et un vieil érudit, Camille apprend à maîtriser son pouvoir. Bientôtses nouveaux compagnons l'encouragent à retourner sur Terrepour ramener un frère dont elle ignorait l'existence.
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En pénétrant accidentellement dans l'univers de Gwendalavir, Camille découvre qu'elle est l'élue sur qui repose la survie de tout un peuple. Après avoir réussi à maîtriser le Don du dessin et terrassé de nombreux ennemis, Camille devient Ewilan... Sa quête lui permet de faire la lumière sur son identité, ses responsabilités, ses aspirations et sa place dans le monde. [Résumé Fnac]
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Mon avis : Voila bien longtemps que je n'avais pas lu un livre fantasy. Et commencer par lire ce style littéraire avec La Quête d'Ewilan est une bonne chose. On me l'avait d'ailleurs beaucoup recommandé. Le style d'écriture de Pierre Bottero est assez agréable à lire. Certains personnages sont attachant, surtout les dénommés Bjorn et Salim, qui l'un pour son caractère un peu loufoque et très maladroit, et l'autre pour son côté humoristique, montre une intelligence plus humaine que les autres et il est plus facile de s'identifier au personnage. Ewilan/Camille, je ne m'y suis pas vraiment attachée, la trouvant trop froide et trop super-héros-sauvant-tout-le-monde-grâce-à-ses-pouvoirs-supers-géniaux-qui-sauveront-l-humanité-toute-entière-d-une-invasion-de-gros-méchant-pas-beau-qui-veulent-dominer-le-monde-avec-leur-faces-dégueulasses. Bref, impersonnel et pas agréable à suivre.
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Je peux remercier la carte et le glossaire sans lequel la compréhension de ce roman aurait était nettement plus compliquée. Cette histoire d'Imagination et de Spires qui au début peut nous paraître obscures sont au final de très bonnes idées. J'aimerais beaucoup posséder le pouvoir qu'a Ewilan. Car c'est dans un univers parallèle que ce roman nous emmène et difficile de rester de marbre dans cet impressionnant espace dans lequel l'auteur a réussi à nous transporter. Une véritable quête dans laquelle nous ne sommes pas juste d'impitoyable observateur. Nous faisons partie de cette communauté.
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Le problème est également que je me suis ennuyé en le lisant. Trop enfantin, il se passe des choses, mais je ne trouve pas un attrait qui m'y fasse réellement m'y intéresser. Je ne trouve pas naturelles les réactions des personnages, le fait qu'Ewilan soit super-forte et que personne ne puisse la battre, qu'elle soit super-intelligente et finalement, bien au-dessus des autres personnages. Les situations, et je suis bien consciente du fait que ce livre soit non seulement pour les enfants mais en plus du fantasy, manque de réalisme, je ne trouve tout ça pas naturel, ou du moins, pas assez pour me mettre à la place des personnages, que je trouve d'ailleurs trop impersonnels.
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Au final, j'essaierai de lire les deux autres tomes si ça passe, mais je ne garantis rien. Une saga qui a souvent fait des coups de c½ur lorsqu'il est lu jeune, mais je ne le conseille pas au gens de plus de 13 ans. 
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Ma note : 5/10
Votre note : 6.5/10 (4 notes)
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LA QUÊTE D'EWILAN, de Pierre Bottero
Tome 2 : Les Frontières de Glace
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Auteur : Pierre Bottero
Titre : La Quête d'Ewilan, tome 2 : les frontières de glace
Edition : Rageot Poche
Page : 303  _ Date de parution : 2003
Genre : Fantasy, jeunesse
Résumé : En Gwendalavir, Ewilan et Salim partent avec leurs compagnons aux abords des Frontières de Glace pour libérer les Sentinelles garantes de la paix. Ils repoussent en chemin les attaques de guerriers cochons, d'ogres et de mercenaires du Chaos, résolus avec les Ts'liches à tuer Ewilan, mais se découvrent un peuple allié : les Faëls.
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Salim se lie d'amitié avec une marchombre aux pouvoirs fascinants, tandis qu'Ewilan assoit son autorité et affermit son Don. Mais pour prétendre délivrer les Sentinelles, elle devra d'abord percer le secret du Dragon. [Résumé Babelio]
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Mon avis : Je continue la lecture de cette trilogie, avec, en toute logique, le deuxième tome de La Quète d'Ewilan. Je dois avouer que j'ai pris beaucoup de temps à le lire, et j'ai eue du mal à réellement rentrer dedans. C'est du au fait que j'ai du mal à lire les livres du genre fantasy. Arrivé à la moitié, j'ai toutefois était très rapide à le finir : j'imagine donc que quelqu'un qui apprécie ce genre littéraire serait largement apte à le lire très rapidement. Pour ma part, c'est un agréable lecture mais sans plus. Toujours autant enfantin pour moi, trop sans doute. Le style d'écriture de l'auteur est agréable et facile à comprendre sans pour autant être trop simple, même pour un livre pour enfant, cependant, je n'apprécie pas beaucoup. Les personnages sont toujours aussi attachant, même le nouvel arrivant, Chiam Vite. Par contre je trouve que ce qui leur arrive est trop facile, quelqu'un est blessé, et, de suite, il est soigné, comme neuf, tout vas pour le mieux dans le meilleur des mondes. Presque à croire qu'ils sont invincibles. 
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Pour finir, une plutôt bonne lecture, mais j'avoue que ça n'ira pas plus loin pour moi. Toutefois, pour les lectures de ce type de roman, je peux tout de même le conseiller, même malgré son côté enfantin.
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Ma note : 4,5/10
Votre note : 6,25/10 (3 notes)
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#Posté le jeudi 25 juillet 2013 16:54

Modifié le samedi 30 août 2014 09:48

Nos morts sont donc presque quatorze fois plus nombreux. Ils pourrissent et se décomposent sous nos pieds et dans nos têtes. Ils parfument notre terre et nos aliments. Certains nous manquent. [Guillaume Musso]

Nos morts sont donc presque quatorze fois plus nombreux. Ils pourrissent et se décomposent sous nos pieds et dans nos têtes. Ils parfument notre terre et nos aliments. Certains nous manquent. [Guillaume Musso]
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ET APRÈS..., de Guillaume Musso
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Auteur : Guillaume Musso
Titre : Et Après...
Edition : Edition Pocket
Page : 357  _ Date de parution : 2005
Genre : Drame
Résumé : A huit ans, Nathan est entré dans le tunnel lumineux de la "mort imminente". Plongeant dans un lac pour aider une fillette, l'enfant s'est noyé. Arrêt cardiaque, mort clinique. Et puis, contre attente, de nouveau, la vie.
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Vingt ans plus tard, Nathan est devenu l'un des plus brillants avocats de New York. Il a tout oublié de cet épisode traumatisant. Il a même fini par épouser la "petite fille du lac", Mallory, sa femme qu'il a passionnément aimée, puis qui l'a quitté, et qui lui manque comme au premier jour...
Mais Nathan ignore que ceux qui reviennent de l'autre côté ne sont plus tout à fait les même. Aujourd'hui il connait la réussite, la notoriété et la prospérité.
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Il est temps pour lui de découvrir pourquoi il est revenu.
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Mon avis : Et Après... est le quatrième roman de Guillaume Musso que j'ai eue la joie de lire à ce jour. J'aime beaucoup l'univers des livres de cet auteur. Encore une fois, le personnage principal est un homme (j'ai lu La Fille de Papier, Seras-tu là ? et Parce que je t'aime avant celui-ci) issu d'une famille pauvre qui aura su faire de sa vie une réussite financièrement parlant, mais pas forcément dans sa vie sentimentale.
J'apprécie beaucoup les thèmes principaux qui entourent ce livre : la mort, la peine, l'argent et enfin l'amour. L'expérience de la mort imminente est un thème que je trouve intéressant et qui est ici bien exploité.
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Le personnage principale, Nathan Del Amico, est très humain et on s'identifie facilement à lui. Mais je dois avouer que le personnage qui m'a le plus touché est Garreth Goodrich. Question de point de vue, j'imagine.
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L'histoire ne se déroule quand un seul mois, mais il y a de nombreux retour en arrière, comme pour Parce que je t'aime, qui lui se déroule en quelques heures.
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Le dénouement final est assez bien, mais facilement devinable. Quant à la transformation de Nathan l'impitoyable avocat à Nathan l'homme qui voulait être heureux avec sa femme et sa fille est bien mise en place également. Et puis, New York sous la neige fait un peu rêver, non ? C'est la meilleur période pour que des choses extraordinaires se produisent ! (enfin, à ce qu'on en dit...)
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Dans tous les cas, c'est un livre que je conseille, car une fois la première page lue, il est difficile de s'en séparer. Une bonne lecture pour ma part.
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Ma note : 7,5/10
Votre note : 6,5/10 (3 notes)
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#Posté le vendredi 26 juillet 2013 09:24

Modifié le mercredi 07 mai 2014 08:39

Ma mère m'a dit un jour que si un homme se torche le derrière et voit du sang sur le papier-toilette, sa réaction sera de chier dans le noir pendant les trente jours suivants, en espérant que tout s'arrangera tout seul. [Stephen King]

Ma mère m'a dit un jour que si un homme se torche le derrière et voit du sang sur le papier-toilette, sa réaction sera de chier dans le noir pendant les trente jours suivants, en espérant que tout s'arrangera tout seul. [Stephen King]Etant donné que je n'ai pas trouvé de bonnes photos de "Juste avant le crépuscule" tel que j'aurai aimé, j'ai choisi de mettre la photo de Charlie Chaplin, soutenu dans les airs (mais ça ne se voit pas ici) par Douglas Fairbanks sur Wall Street à New York City en 1918.
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JUSTE AVANT LE CRÉPUSCULE, de Stephen King
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Auteur : Stephen King
Titre : Juste avant le crépuscule
Edition : Le livre de poche
Page : 617 (comprenant introduction et notes)  _ Date de parution : 2008
Genre : Nouvelle, horreur, fantastique
Résumé : Juste avant le crépuscule... C'est l'heure trouble où les ombres se fondent dans les ténèbres, où la lumière vous fuit, où l'angoisse vous étreint...L'heure de Stephen King. Treize nouvelles jubilatoires et terrifiantes.
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Mon avis : Première nouvelle - Willa : Je dois avouer que j'ai eue des difficultés à entre dans l'histoire, surement parce que je ne comprenais pas tout, car on tombe dans l'histoire comme un cheveux dans la soupe. Mais une fois passé l'intrigue principal (je ne sais pas si je peux appeler ça de cette manière), on comprend que tout cela est fait exprès, et que c'est un coup de maître. Tout est plus compréhensible. L'amour qu'il y a entre David et Willa est toute mignonne, c'est très beau et poétique. C'est une courte nouvelle originale, pas vraiment ce que j'ai l'habitude de lire avec Stephen King, mais c'est un style que j'aime. Une histoire étrange et belle dans un univers comme je l'aime !
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Deuxième nouvelle - La fille pain d'épice : Beaucoup plus haletante que la première nouvelle de ce recueil, et bien que moins original, il n'en reste pas moins que j'ai beaucoup aimé la lire. Tout ce passe très vite. Bien que dépourvu d'un début très intéressant, il n'en reste pas moins nécessaire dans l'histoire. Notamment lors de la course finale. Dans tous les cas, très agréable à lire, on ne reste pas de marbre en lisant les lignes de "la fille pain d'épice". Plus longue que "Willa", elle est, de mon avis, plus facile à lire. Plus angoissante également.
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Troisième nouvelle - Le rêve d'Harvey : Très courte nouvelle et très étrange aussi. L'histoire d'un homme qui expliquant son cauchemar à sa femme, car, selon-lui, lorsqu'on raconte un cauchemar, il ne se produit pas. Pour une raison qui m'est encore obscure, la femme a peur dès le début du récit du mari (si vous avez compris ceci, prenez le temps de m'expliquer pour que je comprenne à mon tour). La fin de cette courte nouvelle se termine sur une question que nous donne l'impression que ce que nous venons de lire n'était qu'un de nos propres cauchermars et que nous nous réveillons sur cette édite question sans pouvoir connaître la suite : "Allô ?". Le tout est vraiment étrange, et subit des longueurs.
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Quatrième nouvelle - Aire de repos : Encore une fois, une nouvelle vraiment étrange. Pas vraiment effrayante, teintée de petites touches d'angoisse, l'histoire est prenante, et bien qu'au début, elle soit difficilement compréhensible (pour ma part), après on comprend beaucoup mieux. Une nouvelle à la Docteur Jekyll et M. Hyde, mais à la façon écrivain. J'ai vraiment apprécié celle-ci, dans laquelle l'homme fou n'est pas celui auqel on pense. Rick Hardin et John Dykstra.
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Cinquième nouvelle - Vélo d'appart : Cette histoire n'est vraiment pas effrayante, angoissante, stressante, etc. Elle laisse perplexe. Elle est franchement étrange, mais n'a rien de réellement exceptionnelle. Elle est jusque là, la nouvelle qui m'a le moins plu. Enfin, toujours le même style à la Stephen King tinté d'une légère pointe d'angoisse et une écriture sympathique. Personnellement, j'ai toujours trouvé que faire du vélo d'appartement était quelque chose de terriblement ennuyeux. Si en plus, on va dans un "monde parallèle" une fois les fesses posées sur le siège.
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Sixième nouvelle - Laissés-pour-compte : Une nouvelle fantasque en hommage à l'attentat du 11 septembre 2001 agréable à lire. Plus attendrissante qu'angoissante, même si j'ai toujours eue peur au fond de moi-même qu'une entité malveillante vienne me hanter. Ce n'est pas le cas dans cette nouvelle. Des objets et des voix comme ça me ferait un peu peur dans la vraie vie, je l'avoue sans aucune honte éprouver.
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Septième nouvelle - Fête de diplôme : Expéditif. Très courte nouvelle, mais elle en demeure néanmoins très bonne. Ce risque que plane sur toutes les grandes ville influentes, qui est réel mais qu'on espère que jamais il ne se produira. Et pourtant, rien n'est jamais sans danger. Ce s'est produit dans le passé, pourquoi pas dans le futur ? Allez ! Trêve de mystère !
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Huitième nouvelle - N. : Beaucoup plus effrayante, angoissante et captivante que les autres nouvelles jusque-là. Un véritable coup de maître qui contient tous les éléments qui font d'un roman (nouvelle dans ce cas-là) de Stephen King une ½uvre surnaturellement effrayante et saisissante. Très agréable à lire, j'en suis néanmoins arrivé à la conclusion qu'une chose comme celle-ci (hallucination ou pas), petite soit-elle, peut rapidement mener à la folie. Ma nouvelle préféré de cette ouvrage.
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Neuvième nouvelle - Un chat d'enfer : Mieux que ce à quoi je m'attendais au début, la fin de cette courte nouvelle apporte son lot de surprise morbide. C'est dégoutant, pas très propre, mais franchement cool à lire. Méfiez-vous des chats, n'importe lesquels, ne leur tournez pas le dos car il en va de votre vie ! On ne préviens jamais assez !
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Dixième nouvelle - Le New York Time à un prix spécial : Étrange, courte, plutôt agréable à lire. Une nouvelle qui suit la ligné de la première de cet ouvrage "Willa". Elle n'est ni inquiètante, ni morbide, ni stressante. Une belle histoire d'amour.
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Onzième nouvelle - Muet : J'ai beaucoup apprécié la forme de cette nouvelle. Un homme qui se recueille à un prêtre et c'est ainsi qu'il remonte dans le passé pour expliquer son péché que nous connaissons son histoire. Plutôt surprenante, c'est une agréable lecture.
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Douzième nouvelle - Ayana : Très jolie nouvelle. Vraiment mignonne, où se côtoie mort et miracle. Vieux et jeune. Il n'y a pas grand chose à dire mis à part que c'est une très belle histoire.
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Treizième et dernière nouvelle - Un très petit coin : Une dernière nouvelle des plus charmante, dans une atmosphère ma foi fort agréable qui sent formidablement bon ! Vous avez sûrement compris mon sens de l'humeur. "Un très petit coin" ou comment Stephen King a réussi à parler d'urine, d'excrément et de vomi en à peu près cent pages. Dans tous les cas, une nouvelle très poétique à lire dans les moments romantiques. 
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En règle général j'ai bien aimé lire les nouvelles de ce recueil. Une agréable lecture, comme à chaque que je lis du Stephen King. Toutefois, je trouve que certaines nouvelles ne sont pas très "utiles" et pourraient passablement ne pas avoir à être mises de cet ouvrage.

Ma note : 7/10
Votre note : ?/10
Lecture commune avec lemillefeuilles et BO-o-M

Avis de lemillefeuilles : J'ai lu ce livre dans le cadre du challenge Stephen King 2013, et également dans le cadre d'une lecture commune avec Chloé et Mathilde (qui n'a pas terminé le livre, car il ne lui plait pas vraiment).
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D'ailleurs, je partage son avis là-dessus. Je n'ai franchement pas accroché. C'était le premier recueil de nouvelles de Stephen King que je lisais, et je crois que je vais m'en tenir à ces romans, pendant quelques temps, avant de tenter de lire à nouveau un recueil.
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Certaines nouvelles sont bonnes, voire très bonnes, mais je me suis vraiment ennuyée à d'autres...
 
Willa : J'ai eu du mal à comprendre celle-ci, au début. On se demande ce qui se passe, on ne comprend vraiment rien... Pourtant, une fois que j'ai compris les choses, j'ai beaucoup plus apprécié cette histoire qui est très originale, bien que pas effrayante pour un sous.

La fille pain d'épice : J'ai commencé à moins apprécié le recueil avec cette nouvelle, qui n'était franchement pas très originale. Cependant, on continue à la lire, car on a très envie d'en connaître la fin. En effet, celle-ci est ponctuée de pas mal d'action, de rebondissements... Mais non, je n'ai pas vraiment accroché.

Le rêve d'Harvey : Cette nouvelle m'a rappelé une d'Anthony Horowitz (que j'avais d'ailleurs adoré). J'en conclus donc que le style a sans doute déjà été vu et revu, mais Stephen King a bien su amener la chose, et j'ai beaucoup aimé cette nouvelle ! Je n'ai pas eu peur du tout, mais qu'importe : je l'ai trouvée très bien.

Aire de repos : Une fois encore, cette nouvelle n'a rien d'effrayant, et je ne l'ai pas trop aimée. J'ai trouvé qu'elle n'avait pas grand intérêt.

Vélo d'appart : Probablement celle que j'ai le moins aimée... Il n'y a rien d'effrayant dans cette histoire, je me suis même ennuyée en attendant la fin.

Laissés-pour-compte : Ah ! Celle-ci, je l'ai beaucoup aimée ! Stephen King nous fait là un hommage à ceux qui sont morts dans les Tours, le 11 Septembre. L'histoire est plutôt triste qu'angoissante, mais je l'ai vraiment appréciée.

Fête de diplôme : J'ai dû relire cette nouvelle pour la comprendre. Elle est très, très expéditive, à peine l'histoire entamée qu'elle est déjà terminée. En tous cas, une bonne nouvelle, pour parler des risques qui courent dans les grandes villes.

N. : Sans doute la nouvelle la plus captivante de ce recueil. Elle est un peu plus longue que d'autres, mais ça n'est pas plus mal, ça nous permet d'entrer vraiment dans l'histoire. Ici, Stephen King nous parle d'un homme atteint de TOC qui raconte les origines de ceux-ci à son médecin... et on se rend vite compte que la folie peut très vite nous emporter.

Un chat d'enfer : Cette nouvelle est assez éc½urante, morbide... J'ai réellement flippé avec celle-ci. Bien que ça ne soit pas ma préférée, je l'ai bien aimée. Les détails sont très présents, ce qui donne un final glauque et morbide.

Le New-York Times à un prix spécial : Une femme s'occupe de ses invités après les funérailles de son mari, quand ce dernier lui téléphone... C'est une belle histoire d'amour et de tendresse.

Muet : Un homme a prit un sourd-muet en stop, et lui déballe son sac, sachant que, l'autre étant sourd, cela ne portera pas à conséquence... Du moins, c'est ce qu'il pensait. Cette nouvelle est surprenante, et je l'ai bien aimée.

Ayana : Je n'ai pas tout suivi dans cette histoire, mais j'ai retenu l'essentiel : les miracles. C'est une très belle nouvelle, très bien écrite.

Un très petit coin : La guerre entre deux voisins dépasse l'inimaginable lorsque l'un d'eux, complètement fou, va entraîner l'autre dans quelque chose d'immonde. Ou, comme on dit, il va se retrouver dans la merde (désolée, j'ai pas pu résister !) Ce texte est dégoûtant, et on se demande comment Mister King a réussi à écrire cent pages en parlant "pipi-caca". J'ai été régulièrement éc½urée par ce qui arrive au héros de l'histoire. J'avais juste envie de meurtres en pensant à son fou de voisin, qui lui a fait faire (et dire) des choses horribles.
 
En conclusion, je suis assez mitigée sur ce recueil. J'ai trouvé certaines nouvelles géniales, mais il y en a d'autres que je n'ai vraiment pas aimé. Je suis un peu déçue, mais ça ne m'empêchera pas de lire à nouveau un Stephen King, bien sûr !
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#Posté le vendredi 26 juillet 2013 11:08

Modifié le samedi 26 avril 2014 08:11

Ce con, il est comme Charles Bronson dans « La grande évasion », il lui creuse un tunnel. [Reservoir Dogs]

 
Ce con, il est comme Charles Bronson dans « La grande évasion », il lui creuse un tunnel. [Reservoir Dogs]
.....Mr Blonde................Mr Pink.....................Mr White........    ..Mr Orange...... .......Mr Brown........ 
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RESERVOIR DOGS, film de Quentin Tarantino
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Réalisateur et acteurs principaux : Quentin Tarantino et Harvey Keitel, Tim Roth, Michael Madsen...
Genre : Policier/Thriller  _   Durée : 99 min
Année de production : 1992
Résumé : Après le braquage d'une bijouterie qui vire au carnage, quatre gangsters se réfugient dans un entrepôt pour fuir la police. Une fois à l'abri, ils tentent de comprendre ce qui s'est passé car un traître se cache parmi eux. La situation devient vite explosive et incontrôlable... [résumé de Commeaucinéma]

Mon avis : Tarantino remonte encore plus dans mon estime, alors qu'il atteignait déjà des sommets. Ce film est vraiment un chef d'oeuvre. Fait qu'avec peu de moyen (du moins, pour un film), il n'en reste pas moins une grosse claque. Dans les temps normal, je n'aime pas tellement les films policier, mais celui là est juste épique. J'avoue avoir beaucoup apprécié la prestation de Tim Roth. Le sang, encore une fois, est une oeuvre d'art, dont Tarantino en est l'artiste. Des scènes sanglantes, surtout avec Mr Blonde. Et une fin devant laquelle tu restes un peu con. Les dialogues sont un tantinet injurieux, mais dans ce genre de film, on les préfère à du Shakespeare. Certaines sont vraiment décalées par rapport à la musique, surtout celle sanglante avec Mr Blonde, encore une fois, mais c'est une chose qui rend ce film encore meilleur ! Rien qu'à la conversation de la toute première scène, plusieurs hommes qui discutent sur le sens de la chanson Like a Virgin de Madonna, et sur le pourliche qu'il faut donner aux serveuses. Bref, rien qu'à la première scène, on sent que le film sera une tuerie (c'est le cas de le dire, surtout dans les Tarantino).

En gros, une très bonne découverte, je le conseille à tout le monde ! Personnellement, je suis totalement conquise ! Totalement Bandant...

NB : Troisième fois que je recommence cette article... 

Ma note : 9/10 
Votre note : 8,5/10 (3 notes)
Soundtrack : George Baker Selection - Little Green Bag, Blue Swede - Hooked on a Feeling, Joe Tex - I Gotcha, Stuck in the Middle with you - Stealers Wheels, Coconut - Harry Nilsson...
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#Posté le mardi 06 août 2013 05:27

Modifié le mardi 14 juillet 2015 11:23

Trois tomates se baladent dans l'avenue. Papa tomate, maman tomate. Bébé tomate traîne, regarde les belles nanas. Papa tomate se met en rage, lui balance une claque et lui dit : « Qu'est ce' t'as t'es tout rouge ? ». [Pulp Fiction]

Trois tomates se baladent dans l’avenue. Papa tomate, maman tomate. Bébé tomate traîne, regarde les belles nanas. Papa tomate se met en rage, lui balance une claque et lui dit : « Qu’est ce’ t’as t’es tout rouge ? ». [Pulp Fiction]
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PULP FICTION, film de Quentin Tarantino
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Réalisateur et acteurs principaux : Quentin Tarantino et John Travolta, Samuel L. Jackson, Uma Thurman.
Genre : Policier/Thriller/Comédie Dramatique  _ Durée : 2h29
Année de production : 1994
Résumé : [Interdit aux moins de 12 ans]
Pulp Fiction décrit l'odyssée sanglante et burlesque de petits malfrats pas très doués et perdus dans la jungle de Hollywood. On y croise volontiers les destins de deux petits tueurs, d'un dangereux gangster marié sans le savoir à une vraie camée, d'un boxeur roublard, de prêteurs sur gages sadiques et sans pitié, d'un caïd élégant qui n'y paraît pas, d'un dealer honnête...et ce n'est pas tout. A vous de reconstituer le puzzle maintenant ! [Commeaucinéma]

Mon avis : Après Django Unchained, Inglourious Basterds et Reservoir Dogs, il était temps pour moi de voir Pulp Fiction. On m'en a d'ailleurs dit autant de mal que de bien, et je me suis décidé à le voir, afin de pouvoir faire ma propre opinion. Bien que même avant de le voir, je me doutais que j'allais aimer. Et ça n'a pas loupé, j'ai beaucoup apprécié !En premier lieu je félicite le casting de rêve. Tarantino a réussi à réunir John Travolta, Samuel L. Jackson, Tim Roth, Uma Thurman et Bruce Willis en un seul film, et rien que pour cela, je dis bravo. Pour aller plus dans la précision, j'ai surtout aimé la performance de Travolta, qui, je trouve, a était excellent dans ce film. Je ne me faisais pas une opinion très haute de cet acteur, sans doute à cause de Grease. Je ne me suis aussi jamais faites à sa tête, étrangement. Mais ici, il était vraiment très bon. Comme souvent, Jackson nous offre une très belle performance également, il a la marque des grands acteurs. Et les autres dont je cité leur nom plus haut, nous offre, eux aussi, de très bons moments.
J'aime beaucoup la façon dont durant tout le film, tout est lié. Le film se déroule en une soirée et une journée, voir juste une matinée, je dirais. C'est sûrement grâce au fait qu'il y est plusieurs point de vue, mais tous les points de vue sont géniaux. Toutes les scènes méritent d'être vues, aucunes n'est superflues. Tous les dialogues doivent être écoutés, car ils sont tous jouissifs. Et encore une fois, Tarantino joue avec le sang afin de ne pas en faire quelque chose d'absolument vomitif, mais de manière à en faire une ½uvre d'art. Certaines scènes, je l'avoue, sont pas mal choquante. Mais comme ça me dérange pas tellement, bien que ça me surprenne sur le coup, je ne m'éterniserais pas sur ce sujet. Mais je préfère préciser que pour les âmes sensibles, le film peut être considéré comme dur. Mais comme personnellement, ce genre de scène dans les films de Gangster ne me choque pas (par contre, dans les films d'horreur...), j'ai surtout beaucoup rie. Le second degré est très présent.

Dans tous les cas, j'ai vraiment trouvé ce film très bon, où chaque scène mérite d'être vue et entendue. Je n'ai franchement pas étais déçue, et il a même était à la hauteur de mes espérances. Comme il a était à la hauteur des espérances, je pense, de beaucoup de monde.

Un coup de génie dont Tarantino en est le maître.

Ma note : 9/10
Votre note : 9/10 (4 notes)
Soundtrack : Misirlou - Pumpkin & Honey Bunny dialogue, Al Green - Let's Stay Together, The Tornados - Bustin' Surfboards, Ricky Nelson - Lonesome Town, The Centurians - Bullwinkle Part II, Chuck Berry - You Never Can Tell, The Marketts - Out of Limits, ...
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#Posté le mercredi 07 août 2013 05:04

Modifié le samedi 04 octobre 2014 15:23

Ses archives (96)

  • Ce n'était pas mon bras qu'elle cherchait mais un bras. Ce n'était pas ma chaleur qu'elle cherchait mais une chaleur. J'étais gêné de n'être que moi. [Haruki Murakami] ven. 09 août 2013
  • C’est ce que nous sommes tous, des amateurs, on ne vit jamais assez longtemps pour être autre chose. [Charles Chaplin] jeu. 15 août 2013
  • La belette ne détendait pas sa morsure. Suspendue à cette gorge, elle la fouillait des dents, pour y trouver la grosse veine où bouillonnait le sang de la vie, car c'était là surtout qu'elle aimait à le boire. [Jack London] dim. 25 août 2013
  • Il ne faut pas rêver. Il ne faut pas espérer changer le monde car le monde est bien plus fort que nous. [Delphine de Vigan] dim. 25 août 2013
  • Un de ces instants suspendus, où rien ne se passe, qu'on considère sur le moment comme une simple chaînon entre un bonheur passé et un bonheur futur, mais qui s'avère, avec le temps, avoir été le bonheur même. [F. Scott Fitzgerald] lun. 09 septembre 2013
  • Cher Dieu, je m'appelle Oscar, j'ai dix ans, j'ai foutu le feu au chat, au chien, à la maison (je crois même que j'ai grillé les poissons rouges) et c'est la première lettre que je t'envoie parce que jusqu'ici, à cause de mes études, j'avais pas le temps. [Eric-Emmanuel Schmitt] sam. 21 septembre 2013
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Création : 23/06/2013 à 10:42 Mise à jour : 27/08/2015 à 08:33

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