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Un jour viendra où nous serons tous morts. Tous. Un jour viendra où il ne restera plus aucun être humain pour se rappeler l'existence des hommes. Un jour viendra où il ne restera plus personne pour se souvenir d'Aristote ou de Cléopâtre, encore moins de toi. [John Green]

Un jour viendra où nous serons tous morts. Tous. Un jour viendra où il ne restera plus aucun être humain pour se rappeler l'existence des hommes. Un jour viendra où il ne restera plus personne pour se souvenir d'Aristote ou de Cléopâtre, encore moins de toi. [John Green]/
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NOS ETOILES CONTRAIRES, de John Green
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Auteur : John Green
Titre : Nos étoiles contraires
Edition : Nathan
Page : 326  _ Date de parution : 2012
Genre : Drame, histoire de vie
Résumé : Hazel, 16 ans, est atteinte d'un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l'évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C'est là qu'elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d'Hazel, qui a peur de s'impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d'amour commence... les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie. [Résumé Babelio]

Mon avis : Il était grand temps que je lise ce livre. Premièrement, je voulais lire Qui es tu, Alaska ?, mais deuxièmement, dès que j'ai vu ce roman au CDI de mon lycée, je me suis jetée dessus, de peur que quelqu'un le fasse avant moi. Du coup, j'ai commencé par lire Nos Etoiles Contraires, mon premier roman de l'auteur John Green, et je vous assure, pas le dernier. 

Pour commencer, dès le premier chapitre, je suis rentré dans l'histoire, et Lui sait que c'est rare de trouver un livre qui t'intéresse dès la première ligne. J'ai crois avoir trouvé mon saint Graal. Ensuite, ça fait deux fois à deux semaines que je lis en livre qui parle de cancéreux. Non pas que ça me dérange, mais je les accumulent, c'est tout. Je n'ai absolument pas étais gênée par le style d'écriture de l'écrivain qui n'est pas le style que je lis d'habitude. Je n'ai même pas eue à m'y acclimater car ça ne m'a pas dérangeais. Quant aux personnages, ils sont tous, dès le début, touchant et humain, à tel point que tu t'y attaches à la vitesse de la lumière. Et pour ma part, la personne à qui je me suis le plus attaché, comme, j'imagine, quasiment toutes les personnes qui ont lu ce livre, était Augustus Waters. Car bien que tous les sentiments d'Hazel Grace soit expliqué de telle façon que tu la comprend aussi bien que si tu étais à sa place, elle me paraissait, comment dire, moins attachante. Bref, même Isaac est un personnage très touchant. Même Patrick et son sempiternelle discours sur son manque de testicules. 

Comme pour La Ligne Verte et pour Oscar et la Dame Rose, j'ai beaucoup pleuré (quoi que j'ai moins pleuré devant Oscar et la Dame Rose que devant La Ligne Verte et Nos Etoiles Contraires). Et il était 2h30 du matin lorsque j'ai réussie à lâcher ce roman, avec beaucoup de difficulté, parce qu'il me resté deux chapitres à lire avant de le terminer. Et je savais pertinemment que lorsque je me réveillerai quelques heures plus tard pour fermer une dernière le livre, je ne ressentirai plus les mêmes très vives émotions que j'ai ressenti. Ce qui s'est effectivement passé. Mais pas besoin de parlementer deux heures sur mon manque d'intelligence. 

Ce livre vous met dans de tels états, que même lorsque vous pleurez de tristesse, un soupçon de rire viendra naître sur vos lèvre à cause d'une réplique drôle lancée en plein milieu d'un passage triste. 

Bref, un coup de coeur, un vrai. Et surtout, un roman que vous devez lire.

Ma note : 8,5/10
Votre note : 9,35/10 (8 notes) 
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bande annonce du film
Chronique Bouquinage-and-cie.
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NOS ÉTOILES CONTRAIRES, film de Josh Boone
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Réalisateurs et acteurs principaux : Josh Boone et Shailene Woodley, Ansel Elgort.
Genre : Drame, romance   _ Durée : 2h05
Année de production : 2014
Résumé :  Hazel, 16 ans, est atteinte d'un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l'évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C'est là qu'elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d'Hazel, qui a peur de s'impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d'amour commence... les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie. [Résumé Babelio]
 
Mon avis : Voila, je suis déçue. J'attendais l'adaptation du livre « nos étoiles contraires » avec impatiente. Je voulais aller le voir au cinéma, pleurer pour la première fois dans mon lieu de culte favoris. J'ai pas pu parce que j'habite un coin de France tellement éloigné de tout que dans mon coin il n'est pas sortie près de chez moi. Du coup, un peu dégoûté je le regarde très légalement sur internet. Et c'est une déception pour ma part. J'ai d'ailleurs décidé d'écrire cette chronique uniquement parce que mon avis diverge de tous les avis que j'ai lu sur ce film sur la blogosphère. Si j'avais adoré le film, je n'aurais pas écrit de chronique. 

Pour commencer, je dirais que comme c'est une adaptation d'un livre que j'ai beaucoup aimé, je serais plus dur qu'avec un film regardé comme ça. Parce que du coup, j'attendais énormément de cette adaptation et au final, j'ai été déçue. Pour vous expliquer le plus simplement possible, je dirais que c'est parce que je n'ai pas ressentie les émotions que j'ai eue lorsque j'ai lu le livre. Parce que quand j'ai lu le livre justement, ça a été une grosse vague d'émotion, et pendant une heure j'ai pleuré. Tandis que là, j'ai assisté au film comme simple spectatrice, je ne me suis pas sentie concerné par les personnages. Certes, c'est une adaptation très juste du livre, au mot près, mais pour moi, ça a été toutes les scènes du livre, sans les émotions. Je n'ai pas eue de boule dans la gorge, je n'ai pas pleuré, et je n'ai pas non plus ris comme devant le livre. Et ça... ça ! C'est la grosse déception.
 
Si ça n'avait pas été une adaptation d'un livre que je chéri, je n'aurais sans doute pas été aussi dur avec lui, je l'aurai trouvé mignon et assez triste. Mais pour moi c'est ici une adaptation à la lettre du livre, mais une mauvaise adaptation quand même. Parce qu'une adaptation pour être bonne, n'a pas besoin de suivre le livre dans les moindres détails, il peut aussi avoir sa propre identité et le réalisateur peut en faire un chef d'½uvre à son image, avec son style. Ici ce n'est qu'une pale copie du livre, sans spécificité.
 
J'ai trouvé l'actrice qui jouait Hazel Grace Lancaster très bien, si j'avais imaginé le personnage, je l'aurais imaginé à son image. De ce côté là, pas de déception. Elle était très bien dans le personnage. Pour Augustus (et pitié, pas Gus, parce qu'Augustus c'est tellement plus joli !), ça ce corse un peu, parce que sa voix française était assez repoussante je trouve (pas que je n'ai pas aimé la voix, mais je ne l'ai pas du tout trouvé en accord avec l'acteur) , et l'acteur en lui même, je ne l'ai pas trouvé exceptionnel. Mais ma plus grosse déception, c'est vraiment Willem Dafoe qui jouait Van Houten (l'auteur de « une impérial affliction »). En temps normal j'adore cette acteur, je le trouve très doué, vraiment très bien. Mais ici, et j'imagine que c'est un choix du réalisateur, mais je l'ai pas du tout trouvé à la hauteur du personnage du livre. Je ne lui est pas retrouvé son mordant, son côté terrible et méchant du livre. Je l'ai ici juste trouvé pathétique avec un petit côté mignon et tout petit. Vous pourrez trouvé que je me contredis, lorsque j'ai dis plus haut qu'une adaptation bonne n'est pas forcément une adaptation à la lettre du livre, et maintenant je dis que le personnage Van Houten n'est vraiment pas à l'image du livre. Mais si le film avait été somme toute bien fait, avec un côté vraiment personnel au réalisateur, j'aurais dis « OK, c'est sa vision du personnage, pas forcément la mienne, j'accepte. », mais ici, ça ne m'a tout simplement pas semblait naturel.
 
Quant à la photographie du film, je n'ai rien à dire, c'était très bien, très jolie. Les couleurs sont très belles, les plans sont pas mal, bien qu'encore une fois, ça manque d'originalité. Je n'ai vraiment pas grand chose à dire de ce côté là, pas vraiment de critique à formuler. Quant à la soundtrack du film, elle est très bien, vraiment très jolie, c'est vraiment un point fort du film.
 
Pour finir, je peux simplement dire que pour ma part, je n'ai pas aimé l'adaptation en elle-même. Je lui est trouvé un gros manque d'originalité, et je me répéterai en disant qu'une bonne adaptation n'est pas forcément une adaptation à la lettre du livre (je prend ici exemple de Shining de Kubrick, qui est une adaptation très libre du livre de King, mais qui en ressort comme un chef d'½uvre tiré du livre, avec vraiment la pâte de l'auteur). Somme toute, si l'adaptation du livre est bonne, le film en lui-même est vraiment pas terrible. Je ne me suis pas sentie concerné par les personnages. Pour moi, puisque mon avis diverge de beaucoup d'autres, ça n'a pas été une bonne surprise.

Ma note : 5/10
Votre note : 7,75/10 (14 notes)
Soundtrack : Ed Sheeran - all of the stars ; Birdy - Tee shirt ; Charli XCX - Boom Clap ; Lykke li - No one ever loved ; M83 - Wait ; etc..
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Bande annonce
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#Posté le jeudi 26 septembre 2013 13:20

Modifié le jeudi 27 août 2015 08:33

La vie d'un humain est beaucoup plus, car il sait qu'il vit. Il a conscience d'être. Il a compris que les instants présents seront suivis par les instants à venir, encore inexistants, mais sur lesquels il a une prise. Fabriqué par l'univers, il est capable de le transformer ; il est donc responsable. [Albert Jacquard]

La vie d'un humain est beaucoup plus, car il sait qu'il vit. Il a conscience d'être. Il a compris que les instants présents seront suivis par les instants à venir, encore inexistants, mais sur lesquels il a une prise. Fabriqué par l'univers, il est capable de le transformer ; il est donc responsable. [Albert Jacquard]/
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L'ÉQUATION DU NÉNUPHAR, d'Albert Jacquard
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Auteur : Albert Jacquard
Titre : L'équation du nénuphar
Edition : Le Livre de Poche
Page : 180  _ Date de parution : 1998
Genre : Philosophique
Résumé : Non, il ne faut pas aller à l'école pour ingurgiter le programme, s'enterrer sous les devoirs et les leçons, entasser les diplômes ! Apprendre, c'est d'abord s'interroger. Formuler ses questions. Chercher les réponses. Critiquer ses propres raisonnement. Suivre son chemin. Apprendre, c'est développer en soi l'irrévérence, l'initiative, la liberté de l'esprit. C'est construire son intelligence.

Après l'immense succès de sa Petite philosophie à l'usage des non-philosophes, le grand généticien, résolument engagé en faveur de la justice sociale, aborde ici la découverte des sciences, de leur évolution, de leurs enjeux. Émaillant son propos d'énigmes et de problèmes ludiques (au nombre desquels la fameuse "équation du nénuphar"), il nous montre que la science est un plaisir. Et aussi quel est son apport à la vie citoyenne, à l'avènement d'une société plus libre et plus juste. [Résumé quatrième de couverture]

Mon avis : L'équation du nénuphar est un livre que j'ai du lire pour le lycée, ce n'est pas le genre de lecture que je lis pour mon plaisir. Mais j'avoue avoir été agréablement surprise. Il n'est ici pas question de "rentrer" dans l'histoire, car l'auteur s'évertue à travers ce livre de nous expliquer son point de vue. Qui est vraiment intéressant, d'ailleurs. Il explique de manière très simple ce qui peut nous paraître compliqué, les questions existentielles que nous nous posons. Je n'ai pas adhéré à une partie du livre, en revanche, car je n'ai pas tout compris. Car Albert Jacquard est un scientifique, et comme peut nous faire comprendre le titre de l'ouvrage, il s'agit ici beaucoup de science et le rapprochement de la science dans les questions existentielles que nous nous posons. Il fait ainsi le rapprochement entre la science et le racisme, et nous explique de manière aussi simple que nous nous sentons un peu stupide de ne pas avoir le rapprochement nous même. C'est le point de vue d'un scientifique, qui à travers beaucoup d'engagement, à réussi à ce faire connaître, et à défendre les causes qui lui semblaient juste de défendre, comme les sans-papiers, les sans-travail et les sans-abris. 

Tout n'est pas facilement compréhensible pour une petite L comme moi qui n'a jamais réussi à comprendre les mathématiques depuis la primaire, et qui n'a jamais était foutu de comprendre l'importance des sciences dans la vie de tous les jours. Et sur ce point, ce livre est une véritable révélation. 

La note que je lui attribue est due au fait que je n'ai pas compris la moitié des théories et explications scientifiques qu'il expliqué. Et les rares que j'ai réussie à comprendre, ce fut grâce aux quelques illustrations qui nous explique avec plus simplicité ce que Jacquard s'évertue à nous expliquer.

Bon livre, que je conseille beaucoup ! Et force est de constater qu'il n'est pas très long.

Ma note : 7/10
Votre note : ?/10 
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#Posté le dimanche 06 octobre 2013 06:12

Modifié le vendredi 11 juillet 2014 07:50

Mr et Mrs Dursley, qui habitaient au 4, Privet Drive, avaient toujours affirmé avec la plus grande fierté qu'ils étaient parfaitement normaux, merci pour eux. [J.K. Rowling]

Mr et Mrs Dursley, qui habitaient au 4, Privet Drive, avaient toujours affirmé avec la plus grande fierté qu'ils étaient parfaitement normaux, merci pour eux. [J.K. Rowling]
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HARRY POTTER A L'ECOLE DES SORCIERS, de J.K. Rowling
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Auteur : J.K Rowling
Titre : Harry Potter à l'école des sorciers
Edition : Gallimard
Page : 233  _ Date de parution : 1997
Genre : Fantastique, fantasy
Résumé : Le jour de ses onze ans, Harry Potter, un orphelin élevé par un oncle et une tante qui le détestent, voit son existence bouleversée. Un géant vient le chercher pour l'emmener à Poudlard, une école de sorcellerie ! Voler en balai, jeter des sorts, combattre les trolls : Harry se révèle un sorcier doué. Mais quel est le mystère qui l'entoure ? Et qui est l'effroyable V..., le mage dont personne n'ose prononcer le nom ? Amitié, surprises, dangers, scènes comiques, Harry découvre ses pouvoirs et la vie à Poudlard. Le premier tome des aventures du jeune héros vous ensorcelle aussitôt ! [Résumé Fnac]

Mon avis : Je connaissais Harry Potter depuis ma plus jeune enfance. J'ai grandis avec les films, j'allais les voir dès qu'ils sortaient au cinéma. Cependant, il ne m'ai jamais venu à l'esprit de lire les livres. Et l'autre jour, je me suis promené dans la chambre à ma s½ur, quand soudain j'ai remarqué, qui brillaient tels des diamants dans leurs bibliothèque, la collection des Harry Potter. Et je me suis dis qu'il serait peut-être bien de les lire. Et je n'ai pas été déçue, absolument pas. Bien sûr, c'est de la lecture pour enfant, ce n'est pas très évolué, mais c'est un autre monde à la suite du nôtre. C'est un autre univers, à la fois éclatant et sombre. Tous les personnages sont très intéressants, bien que parfois un peu caricaturales (les Dursley par exemple). Mais je ne peux pas trop critiquer, car c'est une saga que j'apprécie beaucoup, et honnêtement, j'ai lu rapidement ce livre, deux jours environs, alors qu'il y avait des cours, alors que j'avais des leçons et des devoirs, et que je vais sans doute avoir de pas très bonnes notes. Mais ça va. Bref, je ne vais pas trop parler car ça fait une semaine que je l'ai fini mais je n'ai pas fais cet article tout de suite après l'avoir fini, du coup, je ne me rappelle plus de tout. Puis, il a été beaucoup lu, ce qui, en soit, n'est absolument pas une excuse. Bref, excusez moi, j'ai encore des leçons et je n'ai pas beaucoup d'inspiration. Mais je vais quand même finir avec ceci : c'est un très bon livre, et si vous ne l'avez toujours pas lu, je vous conseille grandement de vous y mettre. :3

Ma note : 8,5/10
Votre note : 9,45/10 (4 notes)
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bande annonce du film
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HARRY POTTER ET LA CHAMBRE DES SECRETS, de J.K. Rowling
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Auteur : J.K Rowling
Titre : Harry Potter et la chambre des secrets
Edition : Gallimard
Page : 275  _ Date de parution : 1998
Genre : Fantastique, fantasy
Résumé : Une rentrée fracassante en voiture volante, une étrange malédiction qui s'abat sur les élèves, cette deuxième année à l'école des sorciers ne s'annonce pas de tout repos ! Harry Potter découvre une inscription énigmatique : "La Chambre des Secrets a été ouverte. Ennemis de l'héritier prenez garde !". En compagnie de ses fidèles amis, Ron et Hermione, l'apprenti sorcier mène l'enquête... [Résumé quatrième de couverture]

Mon avis : Ce deuxième tome s'est révélé être une très agréable lecture, peut-être plus que le premier. Ce que ce tome à de plus, c'est peut-être ce côté plus sombre, cette histoire plus compliqué, cette enchevêtrement avec le premier tome (et lorsqu'on a vu tous les films, il est facile à comprendre que ce qui se passe dans les premiers tomes va avoir une ascendance sur les derniers tomes). Bref, une histoire plus sombre, plus inquiétante aussi. Je n'ai pas grand chose à dire, car je risquerai de me répéter avec ma précédente critique, et il se peut que mes autres critiques se révèlent être de plus en plus courte, et au mieux, de la même taille que celle-ci. Le dénouement final est beaucoup plus rapide que dans le film, ce qui est a la fois bien et un peu décevant, je pencherai plus vers le positif, car cette rapidité donne beaucoup de "mouvement" à la scène (si l'on me comprend). 

Je donnerai pour ce deuxième tome de la saga Harry Potter la même note que pour le premier. 

Ma note : 8/10
Votre note : 8,75/10 (3 notes)
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bande annonce du film
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HARRY POTTER ET LE PRISONNIER D'AZKABAN, de J.K. Rowling
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Auteur : J.K Rowling
Titre : Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban
Edition : Gallimard
Page : 349  _ Date de parution : 1999
Genre : Fantastique, fantasy
Résumé : Le monde des gens ordinaires, les Moldus, comme celui des sorciers, est en émoi : Sirius Black, un dangereux criminel, s'est échappé de la forteresse d'Azkaban. Les redoutables gardiens de la prison assureront la sécurité du collège Poudlard, car le prisonnier évadé recherche Harry Potter. C'est donc sous bonne garde que le jeune sorcier fait sa troisième rentrée. Mais est-il vraiment à l'abris du danger qui le menace ? [Résumé quatrième de couverture]

Mon avis : Je dois avouer que j'attendais impatiemment de lire ce troisième tome, étant donné que mon film préféré de la saga Harry Potter est Le prisonnier d'Azkaban. Et comme je l'ai voulu, ce livre s'avouera celui que j'ai trouvé le plus intéressant à lire des trois que j'ai lu jusque là. Je ne fais pas de prévisions pour les prochains, il se peut qu'il se fasse détrôner. Ce que j'ai particulièrement apprécié, mis à part le fait que c'est toujours aussi bien conté, malgré le fait que ce soit un livre de jeunesse, sont ces multiples indices qui te font comprendre avant même que le fin mot de l'histoire soit dit ce qui se passe. Et lorsque le chapitre décisif arrive, tu ne peux que te dire que tu avais vu les indices. De plus, j'avoue apprécié ce tome car c'est à partir de celui-ci que nous commençons à en savoir de plus en plus, notamment sur le père et les amis de Harry Potter. Buck, malgré le fait qu'il soit un animal, et qu'il n'est pas la faculté de parler est un personnage intéressant attachant. Je ne peux qu'en dire autant pour Lupin, qu'on aimerait mettre dans notre poche pour le ressortir lorsque nous sommes triste tellement il est adorable (à éviter les soirs de pleine lune). Quant à Sirius Black, c'est un personnage très intéressant à suivre. L'histoire est bien ficelé, et très agréable à lire. D'ailleurs, j'ai pris environ un jour à lire ce tome, ce qui peut témoigner de mon amour pour celui-ci. J'ai également beaucoup ri ainsi que j'ai parfois était déçu, triste et en colère, voir dégoûtée. C'est pourquoi je lui attribuerai une meilleure note qu'au autre, mais comme il n'a pas était un coup de c½ur, je ne lui donnerai pas un 9,5 sur 10, ce qui est ma meilleure note. 

Ma note : 9/10
Votre note : 9,45/10 (3 notes)
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bande annonce du film
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HARRY POTTER ET LA COUPE DE FEU, de J.K. Rowling
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Auteur : J.K Rowling
Titre : Harry Potter et la coupe de feu
Edition : Gallimard
Page : 651  _ Date de parution : 2000
Genre : Fantastique, fantasy
Résumé : Après un horrible été chez les Dursley, Harry Potter entre en quatrième année au collège de Poudlard. A quatorze ans, il voudrait simplement être un jeune sorcier comme les autres, retrouver ses amis Ron et Hermoine, assister avec eux à la coupe de Quidditch, apprendre de nouveaux sortilèges et essayer des potions inconnues. Un grande nouvelle l'attend à son arrivée : la tenue à Poudlard d'un tournoi de magie entre les plus célèbres écoles de sorcellerie. Déjà les spectaculaires délégations étrangères font leur entrée... Harry se réjouit. Trop vite. Il va se trouver plongé au c½ur des événements les plus dramatiques qu'il ait jamais eu à affronter. Envoûtant, drôle, bouleversant, ce quatrième tome est le pilier central des aventures de Harry Potter. [Résumé quatrième de couverture]

Mon avis : C'est avec ce quatrième tome, que j'ai lu à une vitesse que me surprend moi-même en revoyant les six cent pages que contient l'ouvrage, que commence à se montrer les différences entre le livre et le films. Les détails ne sont pas les mêmes, jusqu'au personnage Ludo Verpey qui semble avoir été oublié, ainsi qu'une partie de la famille Weasley resté dans l'ombre, également le parrain d'Harry, Sirius, qui n'apparaît dans le film que dans un feu de cheminée, tous semblent avoir été omis dans le film alors qu'ils tiennent dans l'histoire une place plus ou moins dans le livre. Certaines choses, comme le combat d'Hermione pour le droit des elfes de maison ou contre Rita Skeeler, une horrible journaliste. C'est pour ces passages, ces détails et ces personnages modifiés et oubliés, mais aussi pour le faire que ce quatrième tome m'aura autant fais rire (de nombreuses fois) que rendu triste (non, je n'ai pas pleuré), qu'il mérite d'être lu. Etant donné qu'Harry Potter et la coupe de feu est l'un des films qui ma le moins plus (à tort, bien évidemment, j'aurai du m'attendre aussi bien que pour les autres tomes au fait que ce livre expliquer avec une extraordinaire justesse les sentiments que nous même aurions ressenti développant ainsi une approche remarquable avec le lecteur qui se retrouve littéralement happé par l'histoire en éprouvant les mêmes sentiments que les héros de celle-ci, et ainsi, nous prouvant que malgré son courage indéniable, Harry est un humain avec des angoisses et des sentiments comme tout le monde, ce qu'on pourrait presque oublié. De plus les sentiments, toutes les scènes et divers endroits et situations sont extrêmement bien décrit avec une simplicité incroyable), j'ai été surprise de remarquer que ce tome (ce pavé, devrais-je dire!) m'a autant plu que les autres, voir plus. Et bien que je connaisse le dénouement final de l'histoire, de nombreux points ne m'ont étaient éclairés qu'à la fin du roman, le film n'ayant pas tout à fait la même fin que ce dernier. C'est avec un sentiment presque inexplicable, se situant entre le joie, l'empressement de lire le prochain tome (qui est un pavé lui aussi de près de mille pages) et une paix franchement étrange (je ne comprend pas moi-même pourquoi), que j'ai clos cette lecture. Les romans sont de toute manière tous une enquête pour savoir la vérité, une sorte de conte détective magique.

Je ne peux donc que vous conseiller de commencer à lire cet saga pour pouvoir lire de tome !

Ma note : 9/10
Votre note : 9,25/10 (3 notes)
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bande annonce du film
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HARRY POTTER ET L'ORDRE DU PHÉNIX, de J.K. Rowling
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Auteur : J.K Rowling
Titre : Harry Potter et l'Ordre du Phénix
Edition : Gallimard
Page : 975  _ Date de parution : 2003
Genre : Fantastique, fantasy
Résumé : A quinze ans, Harry s'apprête à entrer en cinquième année à Poudlard. Et s'il est heureux de retrouver le monde des sorciers, il n'a jamais été aussi anxieux. L'adolescence, la perspective des examens importants en fin d'année et ces étranges cauchemars... Car Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom est de retour et, plus que jamais, Harry sent peser sur lui une terrible menace. Une menace que le ministère de la Magie ne semble pas prendre au sérieux, contrairement à Dumbledore. Poudlard devient alors le terrain d'une véritable lutte de pouvoir. La résistance s'organise autour de Harry qui va devoir compter sur le courage et la fidélité de ses amis de toujours... [résumé quatrième de couverture]

Mon avis : Ce cinquième tome achevé, je ne peux que faire une bonne critique de celui-ci. Si dans le quatrième tome de la saga Harry Potter il n'y avait que quelques scènes qui ne sont pas apparues dans le film, ce n'est pas le cas pour celui-ci où grand nombre de passages ont été tout simplement ignoré. Dommage. Car il s'agit ici d'un roman pour le moins épais (presque mille pages tout de même) où beaucoup de choses se passent et pas mal d'éléments ont été éclairé. Je n'ai pas envie de faire une critique longue qui ne vas peut-être ne pas être lue, mais ce cinquième livre est l'un des meilleurs, et si j'ai pris plus de temps pour le lire, ce n'est que parce qu'il est plus long, car encore une fois, toutes les émotions sont très bien expliqués, à tel point qu'il est très facile de s'identifier aux personnages (notamment Harry) qui sont ainsi rendus beaucoup plus humains, pour ainsi dire, rendus beaucoup plus "comme nous". L'histoire est très ficelée. Pour le personnage d'Ombrage on ressent plus de haine envers, on n'a plus envie qu'elle meurt (enfin, en tout cas, c'est mon sentiment) que Voldemort (qui est d'ailleurs un personnage que j'apprécie beaucoup). Quant à Fudge et à Percy (Weasley), on ne peut s'empêcher d'éprouver une grande haine envers eux, de ne pas croire Dumbledore et Harry et de les faire passer pour des menteurs pour attirer l'attention sur eux. Il a beaucoup d'émotions dans cet ouvrage, dont la colère et la peine sont dominantes. Enfin, la perte d'un personnage important à la fin du tome le rend particulièrement triste. 

En tout cas, je vous conseille beaucoup ce tome-ci également. Et parce que j'en ai envie et que ce passage m'a bien fait rire, voici ceci : "J'aurais dû me montrer plus explicite, dit le professeur McGonagall en se tournant enfin vers Ombrage pour la regarder droit dans les yeux. Il a obtenu des notes élevées aux examens de défense contre les forces du Mal chaque fois qu'il a eu affaire à un professeur compétent."

Ma note : 9/10
Votre note : 8,75/10 (3 notes)
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bande annonce du film
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HARRY POTTER ET LE PRINCE DE SANG-MÊLÉ, de J.K. Rowling
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Auteur : J.K Rowling
Titre : Harry Potter et le Prince de Sang-Mêlé
Edition : Gallimard
Page : 715  _ Date de parution : 2005
Genre : Fantastique, fantasy
Résumé : Dans un monde de plus en plus inquiétant, Harry se prépare à retrouver Ron et Hermione. Bientôt, ce sera la rentrée à Poudlard, avec les autres étudiants de sixième année. Mais pourquoi le professeur Dumbledore vient-il en personne chercher Harry chez les Dursley ? [résumé quatrième de couverture]

Mon avis : Beaucoup moins sombre que ce à quoi je m'étais attendue. Certes, ce sixième tome n'est pas ce qu'on pourrait appeler un livre très gai, et il fallait s'y attendre : Lord Voldemort à retrouvé son corps, il est redevenu très puissant. Pourtant, bien qu'on parle souvent de lui, ce n'est qu'avec des souvenirs du passé de celui-ci, de ses parents, de sa jeunesse, de son adolescence, de ce qui la poussait à agir ainsi et de ce qui fait sa force. Il n'apparaît pas du tout. Mis à part que le danger existe, et que personne n'est réellement à l'abris, l'année qui se déroule est presque "normal". Ce que fabrique Drago Malefoy obsède beaucoup plus Harry que dans le film, il est sans cesse à chercher ce qui se passe avec lui, il le surveille. Quant au manuel des potions qui appartient au Prince de Sang-Mêlé, il en est plus question que dans le film également. D'ailleurs, de nombreuses scènes du livre ont été omises dans le film. C'est bien dommage. Car ce tome est très bien, et grâce aux souvenirs, nous en savons davantage sur le Seigneur des Ténèbres. Il y a également beaucoup d'humour dans le livre, et je me demande si je suis la seule qui est remarqué que dans le livre, Horace Slughorn, le professeur de Potions, confond le prénom de Ron avec celui-ci : Rupert. Petit clin d'½il de la part de J.K. Rowling peut-être ? Bref, beaucoup d'humour, mais aussi beaucoup d'amour, ainsi que que beaucoup de tristesse (notamment à la fin).

Ce tome est très bon, et à la hauteur des autres tomes. 

Ma note : 9/10
Votre note : 7,75/10 (2 notes)
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bande annonce du film
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HARRY POTTER ET LES RELIQUES DE LA MORT, de J.K. Rowling
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Auteur : J.K Rowling
Titre : Harry Potter et les Reliques de la Mort
Edition : Gallimard
Page : 809  _ Date de parution : 2007
Genre : Fantastique, fantasy
Résumé : Cet été-là, Harry atteint ses dix-sept ans, l'âge de la majorité pour un sorcier, et s'apprête à faire face à son destin. Soutenu par Ron et Hermione, Harry se consacre pleinement à la mission confiée par Dumbledore avant de mourir, la chasse aux Horcruxes. Mais le Seigneur des Ténèbres règne désormais en maître absolu. Traqués, en exil, les trois fidèles amis vont connaître une solitude sans précédent, où leur courage, leurs choix et leurs sacrifices seront déterminants dans la lutte contre les forces du mal. Leur quête croisera celle des Reliques de la Mort, et fera surgir du passé des révélations capitales et parfois douloureuses. Ces épreuves conduiront Harry, sans détour, vers sa destinée, l'affrontement final avec Lord Voldemort.  [Résumé Amazon]

Mon avis : Voila que je clos enfin la saga Harry Potter. Elle m'aura tenue en haleine jusqu'au bout, bien que je connaissais déjà le dénouement final car j'avais déjà vu les films avant. Enfin, lire ce dernier tome ne fait qu'agrémenter mes connaissances et les trouvailles sur cette saga, et aide à mieux comprendre, sur ce que passe sous silence les films. Il y a deux parties non délimitées dans ce livre : la quête, et la véritable action, le combat de Poudlard, le combat final. Les deux parties sont très bien, et vraiment aucun ennui. On peut se dire que la quête est la partie "ennuyeuse" du roman. Que nenni ! C'est très intéressant, et même si il ne se passe pas réellement grand chose, les déroutes de Harry par rapport à Dumbledore, et d'autres choses qui n'apparaissent pas dans le film, se montrent vraiment très agréable. D'ailleurs, dans le tome précédent, c'est beaucoup sur l'histoire, le passé de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom. Celui-ci est beaucoup sur le passé de Dumbledore, et c'est vraiment très bien à lire. On ne connait de Dumbledore que le bon, et de voir qu'il n'a pas toujours été parfait, et toujours très agréable. Je n'ai pas envie de faire une critique longue et ambitieuse. Je souhaite seulement dire que cette fin est comme elle se doit d'être, et est parfois même mieux que ce à quoi on peut attendre. Je suis triste d'avoir terminé cette saga, que ce soit fini. Et rares sont les livres qui m'ont autant plu. Et c'est au terme de ma dernière critique que je vous conseille fortement de lire toute la saga, même si vous avez vu le film ! 

Ma note : 9/10
Votre note : 8,75/10 (2 notes)
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bande annonce du film
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Mr et Mrs Dursley, qui habitaient au 4, Privet Drive, avaient toujours affirmé avec la plus grande fierté qu'ils étaient parfaitement normaux, merci pour eux. [J.K. Rowling]



 D'après Pottermore ma maison est Gryffondor :3



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#Posté le mercredi 16 octobre 2013 11:42

Modifié le lundi 22 septembre 2014 04:28

Dans ce monde, répondit tranquillement le vieillard, la personne la plus importante est celle qui est devant vous et a besoin de votre aide ; la chose la plus importante est de l'aider ; et le moment le plus important pour le faire est l'instant présent - il n'est pas question d'hésiter, fût-ce une seconde. [Yu Dan]

Dans ce monde, répondit tranquillement le vieillard, la personne la plus importante est celle qui est devant vous et a besoin de votre aide ; la chose la plus importante est de l'aider ; et le moment le plus important pour le faire est l'instant présent - il n'est pas question d'hésiter, fût-ce une seconde. [Yu Dan]
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LE BONHEUR SELON CONFUCIUS : PETIT MANUEL DE SAGESSE UNIVERSELLE, d'Yu Dan
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Auteur : Yu Dan
Titre : Le Bonheur selon Confucius : petit manuel de sagesse universelle
Edition : Belfond
Page : 181  _ Date de parution : 2006
Genre : Manuel
Résumé : S'emparant des enseignements de Confucius, dépoussiérant ces classiques vieux de deux mille cinq cents ans, Yu Dan ne propose rien moins que d'en restituer la philosophie aux hommes et aux femmes d'aujourd'hui. A mille lieues de l'approche déférente des universitaires, une relecture moderne et lumineuse de ces textes, qui nous initie à leur sagesse en nous en révélant les secrets. Des secrets pour comprendre notre monde et ses bouleversements, pour y trouver notre place et nous aider à être plus humains, et surtout plus heureux. Limpide, direct, accessible, enrichi de nos questionnements quotidiens, un livre qui offre la vérité intemporelle de Confucius dans sa simplicité la plus essentielle. Une éthique pour notre époque. [Résumé Amazon]

Mon avis : Cela faisait un moment que je me devais de lire cette ouvrage, ce petit manuel de sagesse universelle. On me l'a prêté et il était de mon devoir de le lire le plus rapidement que je le puisse. Pour donner mon avis sur ce livre, je peux vous dire que je l'ai bien apprécié. Pas comme on apprécie un roman où l'on nous conte une histoire, mais comme un manuel qui peut m'aider à éclairer ma vie et à guider mes pas. Certes, c'est en le lisant qu'il m'aidera a vivre dans l'harmonie autant extérieure qu'intérieure, mais il aide à comprendre comment si prendre. Merci Confucius. Il ne s'agit pas seulement d'un manuel, mais d'un point de vue, ponctué d'exemple parlait qui vous aide à mieux comprendre celui-ci. Ces exemples se trouvent être la parfaite définition de ce que veut que nous comprenions Conficius par son enseignement. Que ce soit des histoires véritables et des contes. Ainsi, il vous explique la Voie du ciel et de la terre, la Voie du c½ur et l'âme, la Voie de monde, la Voie de l'amitié, la Voie et de l'ambition et la Voie de l'existence. Je ne peux que vous le conseiller, car il est très intéressant à lire, et il n'a beau raconter aucune histoire à proprement parler, il est loin d'être rébarbatif. Je ne fais pas une grande critique, car je pense que non seulement je n'ai pas grand chose à dire mais en plus, les grandes critiques ne sont pas forcément les plus lues.

Ma note : 7/10
Votre note : ?/10 
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#Posté le dimanche 20 octobre 2013 09:40

Modifié le vendredi 11 juillet 2014 07:51

Finalement, la quête de la Baguette de Sureau vient étayer une observation que j'ai souvent eu l'occasion de formuler au cours de ma longue vie, à savoir que les humains ont le don de jeter leur dévolu sur les choses qui, précisément, leur font le plus de mal. [J.K. Rowling]

Finalement, la quête de la Baguette de Sureau vient étayer une observation que j'ai souvent eu l'occasion de formuler au cours de ma longue vie, à savoir que les humains ont le don de jeter leur dévolu sur les choses qui, précisément, leur font le plus de mal. [J.K. Rowling]
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LES CONTES DE BEEDLE LE BARDE, de J.K. Rowling
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Auteur : J.K. Rowling
Titre : Les Contes de Beedle le Barde
Edition : Folio Junior
Page : 127  _ Date de parution : 2008
Genre : Fantastique, fantasy, contes
Résumé : Voici les cinq contes de fées qui bercent l'enfance des jeunes sorciers. Chacun a sa magie particulière qui enchantera les lecteurs et les fera tour à tour rire ou frissonner. Les commentaires passionnants et malicieux du professeur Albus Dumbledore qui accompagnent chaque récit seront appréciés des sorciers comme des Moldus. Le professeur y donne de nombreuses clefs et dévoile, par la même occasion, maint déteil de la vie à Poudlard. [Résumé quatrième de couverture]

Mon avis : Je tenais à lire ce "recueil" avant de terminer la saga Harry Potter. Il me semble qu'on parle des contes de Beedle le Barde dans Harry Potter et les Reliques de la Mort. Je vais donc vous écrire une critique des contes de cet ouvrage. Conte par contre.

Le Sorcier et la marmite sauteuse : Voila un étrange conte, qui me plait plutôt bien grâce à une gentille petite morale. C'est une histoire qui est un peu similaire aux contes pour Moldus. Cependant, ce n'est pas non plus une grande découverte, et ce qui m'a surtout plu, c'est le commentaire qu'à fait Dumbledore sur cette histoire.

La Fontaine de la Bonne Fortune : J'ai préféré ce conte par rapport au premier du "recueil". J'ai préféré la morale, qui est beaucoup plus "Moldue" et qui peut être très réelle, même aujourd'hui. Les personnages sont moins antipathiques, et je ne vois pas trop quoi ajouter, mise à part le fait que j'ai préféré ce conte.

Le Sorcier au c½ur velu : C'est un conte beaucoup plus sombre que les autres. Alors que ces derniers sont sur un plan plutôt gai, celui-ci est basé sur un homme qui ne veux pas éprouver des sentiments qu'il trouve "honteux", tel que l'amour. Il a alors recours à la magie noire pour enfermer son c½ur dans une châsse de cristal. Comme les autres, il y a une morale, mais on voit bien que celle-ci est trop sombre pour être pour les enfants. J'ai beaucoup apprécié ce conte.

Babbitty Lapina et la souche qui gloussait : C'est un bon conte aussi. Une morale vis-à-vis du roi stupide. Mise à part ça, rien d'exceptionnel, c'est sans doute, d'ailleurs, le conte le plus "réaliste" de ce recueil. J'ai plutôt apprécié cette lecture, assez agréable à lire. 

Le Conte des trois frères : Ce dernier conte est de loin le plus court et le meilleur de tous. La morale est simple, mais j'ai beaucoup aimé la forme, et les personnages. Nous nous confrontons à nos propres défauts à travers les deux plus vieux frères alors que le dernier possède ce que nous devrions tous avoir : la sagesse. L'un des deux autres n'ont pas su résister au besoin de voir un proche récemment décédé revivre tandis que l'autre ne peut s'empêcher de se moquer de la mort en voulant une baguette plus puissante que n'importe quelle autre baguettes existants, afin d'être redouté. Ce conte est le plus connu des gens car il apparaît dans le dernier tome de la saga Harry Potter.

Ce recueil de conte est court, facile et agréable à lire. Il est censé être un recueil de contes lu aux jeunes sorciers avant de se coucher. Ce n'est pas un coup de c½ur ni rien, mais là où j'en suis, il est très agréable de lire les notes de Dumbledore. 

Ma note : 7/10
Votre note : ?/10 
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#Posté le jeudi 31 octobre 2013 14:03

Modifié le vendredi 11 juillet 2014 07:51

Nous nous sommes juré de nous aider en périls comme en amour, de nous venger l'un l'autre quand besoin serait, de n'avoir pour ennemis, moi, que les tiens, toi, que les miens. [Victor Hugo]

Nous nous sommes juré de nous aider en périls comme en amour, de nous venger l'un l'autre quand besoin serait, de n'avoir pour ennemis, moi, que les tiens, toi, que les miens. [Victor Hugo]
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LUCRÈCE BORGIA, de Victor Hugo
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Auteur : Victor Hugo
Titre : Lucrèce Borgia
Edition : Pocket
Page : 155  _ Date de parution : 1833
Genre : Théâtre, mélodrame tragique
Résumé : Indifférente à la haine de l'Italie entière, Lucrèce Borgia parade au carnaval de Venise. Qui pourrait inquiéter cette femme de pouvoir qui baigne dans l'adultère, l'inceste et le crime ? Elle a peur cependant, et tremble pour un simple capitaine qu'elle cherche parmi la foule. Il se nomme Gennaro. Il est amoureux d'elle, lui qui tient les Borgia en aversion et insulte leur blason. Or Gennaro n'est autre que son fils, né de ses amours incestueuses avec son propre frère, et le jeune homme ignore tout de son passé et de ses origines. Lucrèce est un monstre, mais aussi une femme et une mère. Comment protéger son enfant, comment le soustraire à la fureur d'un mari qui le croit son amant ? [Résumé quatrième de couverture]

Mon avis : J'ai aimé ce livre comme j'aime habituellement les livres de théâtre : moyennement. Ce genre littéraire ne m'a jamais vraiment plu à la lecture. Je trouve que ce ne sont pas des livres fait pour être lus d'une traite mais plutôt comme devant être vécus. C'est pourquoi j'adore aller au théâtre et voir le talent d'acteurs payés pour faire vivre cette art, mais à lire, je n'apprécie vraiment que très moyennement.

Puisqu'il s'agit maintenant de critiquer ce livre, je peux commencer par dire qu'il est encore incroyable que j'ai réussie à le finir. C'était une lecture pour le lycée, donc j'étais bien obligé. Mais pour être plus objective, il est loin d'être mauvais, il est d'ailleurs une pièce régulièrement adapté au théâtre, et l'histoire est plutôt intéressante. Le personnage de Lucrèce Borgia est plutôt agréable, car malgré le fait qu'elle soit une femme monstrueuse, elle est aussi une mère qui a peur pour son fils, et qui veut voir ce que devient sa progéniture. Quel dommage que cette enfant dans elle est la mère biologique n'est entendu que du mal d'elle et n'apprécie guère cette femme du fait des méfaits qu'elle à commit sur les parents, oncles et frères de ses amis les plus proches. C'est ainsi qu'une femme qui pour toute l'Italie est un monstre, s'avoue aussi être une simple mère aimante. Gennaro, son fils, est un personnage qui est pour moi plutôt antipathique, car j'ai du mal à me mettre à sa place, car depuis le début, nous savons que Lucrèce Borgia est sa mère, mais lui ne le sait pas, et lorsqu'elle essaie de l'aider, il est fort désagréable avec elle, ne savant pas que celle qui lui offre son aide est tout simplement sa mère biologique pour qui il a tellement d'affection à travers ses lettres sans savoir qui elle est, et non une femme monstrueuse telle que tout le monde la connait. 

C'est un livre court, avec un style plutôt agréable, et une histoire facile à comprendre. D'ailleurs, j'aime bien l'auteur Victor Hugo. Et en bref, j'attribue à cette pièce de théâtre une note aussi basse car le fait est que je n'aime pas ce genre littéraire, et que je n'aurai jamais lu ce livre sans l'obligation de le lire pour le lycée. Maintenant, il s'agit d'un livre classique, qui n'est pas non plus désagréable à lire, et je pense que pour ceux qui aime le genre théâtrale à lire plus que moi, il peut que cette lecture vous soit plus agréable que ce que je peux laisser entendre dans mes propos plus haut dans cette critique. 

Ma note : 6,5/10
Votre note : ?/10 
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#Posté le vendredi 01 novembre 2013 06:29

Modifié le samedi 26 avril 2014 08:26

Si seulement c'était aussi simple, Lilly, à murmuré Maman. Le problème, c'est que les gens ne veulent pas avoir la même chose. Il leur faut toujours plus et mieux que leur voisin. [Anne C. Voorhoeve]

Si seulement c'était aussi simple, Lilly, à murmuré Maman. Le problème, c'est que les gens ne veulent pas avoir la même chose. Il leur faut toujours plus et mieux que leur voisin. [Anne C. Voorhoeve]
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MES DEUX ALLEMAGNE, de Anne C. Voorhoeve
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Auteur : Anne C. Voorhoeve
Titre : Mes deux Allemagne
Edition : Bayard Jeunesse
Page : 347  _ Date de parution : 2009
Genre : Historique, dramatique
Résumé : En 1988, l'Allemagne est toujours divisée en deux pays distincts, séparés par une frontière réputée infranchissable. Lilly habite à Hambourg, en Allemagne de l'Ouest, et a tout juste treize ans lorsqu'elle se retrouve orpheline. Son père est décédé quand elle était petite, et sa mère vient de mourir d'un cancer. Elle rencontre pour le première fois sa tante Lena, qui a obtenu l'autorisation exceptionnelle de quitter l'Allemagne de l'Est, où elle vit, pour se rendre à l'enterrement de sa s½ur. Lilly s'attache à cette femme douce et chaleureuse et reste inconsolable après son départ. Elle n'a plus qu'elle au monde, et Lena a dû repartir de l'autre côté du Mur... Confiée à une tutrice, qui compte la placer dans une famille d'accueil pour Noël, Lilly échafaude le projet insensé de rejoindre sa tante. Elle ignore alors que le mur de Berlin tombera le 9 novembre 1989. [Résumé quatrième de couverture]

Mon avis : Lorsque j'étais au CDI de mon lycée, l'autre jour, j'ai fais une liste de dix/onze livres, celui-là en faisait partit. Je n'ai pris que très peu de temps à le lire, un peu moins de deux jours. Il n'est pas très long, les pages plutôt épaisses et l'écriture plutôt grosse (moyenne, je dirais), cependant, comme je l'ai emprunté lundi soir, que j'ai eue un très long mardi et un bac blanc de français ce matin, j'avoue être plutôt fière de la vitesse de cette lecture, sans me venter. 

Bref, comme le témoigne cette vitesse, j'ai beaucoup apprécié le livre, lorsque je commençais quelques pages, je ne pouvais plus m'arrêter, vraiment, très bien. Les personnages sont vraiment sympathiques (surtout Meggi, pour ma part, et j'ai bien aimé Bernd pour le si peu qu'il est apparu), très facile à s'imaginer, et réaliste. Celle qui m'a malheureusement le plus déçue est Lilly elle-même, mais j'ai bien finie par l'apprécié, pour apprécier l'histoire. D'ailleurs, parlons-en, de l'histoire ! Je n'ai jamais étais féru de livre historique, de l'Allemagne, je n'ai vu réellement que Munich, et j'ai vraiment beaucoup de mal à assimiler l'allemand, et pourtant, dès le résumé, je trouvais cela très intéressant. D'un point de vue historique, je trouve que ce livre est une petite mine d'or. Le fait que les allemands de la RDA se sentent tellement différent de ceux de la RFA et vice-versa, alors que finalement, une fois réuni, c'est la même chose, la même recherche de paix. D'ailleurs, grâce à ce livre, j'ai enfin trouver un moyen mnémotechnique pour me souvenir que la RDA c'est l'Allemagne de l'est, et la RFA l'Allemagne de l'ouest, avant, aucun moyen de m'en souvenir ! 

Le style d'écriture de l'auteure est vraiment agréable à lire, très fluide, très simple et pourtant, ça ne paraît vraiment pas enfantin. Il y a des secrets, du suspens quand même, je voulais connaître les réponses, je pense que c'est en partie la raison pour laquelle j'ai lue très vite ce roman. J'ai quand même étais un peu déçue par le fait que, réellement, la chute du mur de Berlin, on n'en parle que dans l'épilogue. Mais malgré tout, l'histoire est très bien, le mur a tout de même une importance primordial dedans. Normalement, les lamentations et élucubrations quotidiennes d'une jeune adolescente immature ne me plaisent pas tellement, et à lire, ça m'ennuie rapidement, mais ça ne m'a dérangé dans ce roman, alors que c'était risqué d'entreprendre une démarche telle que celle-là, c'est tellement facile de tomber dans le cliché ou dans la répétition...

En résumé, j'ai beaucoup apprécié ce roman, et je le conseille à tout le monde!

Ma note : 8/10
Votre note : ?/10 
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#Posté le mercredi 20 novembre 2013 08:10

Modifié le samedi 26 avril 2014 08:27

Ses archives (96)

  • Les gens qui te demandent comment tu vas ne sont pas tes amis. Ce sont des gratteurs de croûtes. Des curieux qui adorent rouvrir les blessures. Ce qu'ils veulent, au fond, c'est s'assurer que tu es mal, pour se sentir plus fort. [Allan Stratton] ven. 22 novembre 2013
  • Êtes vous homosexuel, répondez à la question ! Êtes vous un homo ? Êtes vous une pédale, une tapette, une folle, une chochotte un empaffé, un de la jaquette, une tantouse ? ÊTES VOUS GAY ? sam. 07 décembre 2013
  • Dès qu'ils voient une chose, les êtres humains ne peuvent s'empêcher de la détruire, Lyra. Voilà le vrai péché originel. Et je vais le détruire à son tour. Je vais tuer la mort. [Philip Pullman] mar. 10 décembre 2013
  • Alors, qu'on me l'amène, tout palpitant, tout frissonnant de la tête aux pieds ; qu'on me jette entre ses bras, à ses genoux ; et il pleurera, et nous pleurerons, et il sera éloquent, et je serai consolé, et mon c½ur se dégonflera dans le sien, et il prendre mon âme et je prendrai son Dieu. [Victor Hugo] jeu. 12 décembre 2013
  • Ma mère est prostituée. Bon, il y a prostituée et prostituée. Disons que ce n'est pas le genre à faire le trottoir; elle n'a rien d'une vulgaire fille des rues. Au contraire, elle est très jolie, porte de ravissants vêtements et s'exprime assez correctement. Mais elle couche avec des hommes contre de l'argent ou des cadeaux, ce qui, selon le dictionnaire, fait d'elle une prostituée. [Ruta Sepetys] mar. 17 décembre 2013
  • Je sais que nous devons profiter de chaque instant parce que nous ne serons pas là éternellement, et ça me va comme ça d'ailleurs, car c'est en prenant conscience que les choses sont éphémères qu'on les apprécie à leur juste valeur et qu'on a envie d'en savourer chaque minute. [Gemma Malley] sam. 21 décembre 2013
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