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Je donnais l'impression d'être quelqu'un de bizarre. Je m'installais fréquemment au fond d'une armoire dont je ne sortais pas, je m'asseyais sur mon bureau, ou bien en dessous, je faisais des trucs étranges comme m'arracher une dent de sagesse et inonder de sang les couloirs. Mais je suis arrivé à dépasser ce stage. Je ne m'enferme plus dans une armoire. [Tim Burton]

Je donnais l'impression d'être quelqu'un de bizarre. Je m'installais fréquemment au fond d'une armoire dont je ne sortais pas, je m'asseyais sur mon bureau, ou bien en dessous, je faisais des trucs étranges comme m'arracher une dent de sagesse et inonder de sang les couloirs. Mais je suis arrivé à dépasser ce stage. Je ne m'enferme plus dans une armoire. [Tim Burton]/
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TIM BURTON, entretiens avec Mark Salisbury
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Auteur : Mark Salisbury, Tim Burton, préface de Johnny Depp
Titre : Tim Burton
Edition : points
Page : 382 _ Date de parution : 2009
Genre : Biographie
Résumé : Tim Burton est un visionnaire, un incroyable conteur d'histoires. Il parle ici à c½ur ouvert avec son ami Mark Salisbury. D'Edward aux mains d'argent à Sweeney Todd, en passant par L'Étrange noël de Mr Jack ou Batman, le cinéaste livre les secrets de sa création et ouvre les portes de son imaginaire, peuplé de rêves et de cauchemars. "Tim Burton est un artiste, un génie, un excentrique, un fou et un ami brillant, courageux, drôle jusqu'à l'hystérie, loyal, non conformiste et franc du collier. Je n'ai jamais vu quelqu'un de si évidemment hors jeu s'adapter aussi bien. A sa manière." Johnny Depp.

Mon avis : Ce livre est un cadeau que ma s½ur m'a offert pour noël. Je la remercie car elle visée dans le mille. Quoi que, comme elle ma s½ur, elle se doute très bien que j'adore Tim Burton. C'est d'autant plus facile de s'avoir ce que j'aime car lorsque cela arrive, j'en parle tout le temps. Je ne me rappelle pas avoir parler à tord et à travers de Tim Burton, alors peut-être se doute t'elle, à ma façon d'agir et de dessiner, et même de penser, que j'adore ce que fais ce type. Et effectivement, autant les histoires que le visuel me plait. En bref, elle a sue m'offrir un cadeau qui m'a beaucoup plu.

Mais pour parler du livre. Il s'agit plus d'une interview. Il n'y a pas de question à proprement posé, mais des phrases en gras permettent de voir lorsque ce n'est pas Burton qui parle, mais Salisbury. Il met des phrases du style "Bien que Burton ait signé pour mettre en scène le scénario de Boyle - très orienté science-fiction, avec trois énormes séquences de batailles -, la Fox juge la coût du projet absolument prohibitif", qui montre bien que ce n'est plus le cinéaste qui parle. Puis il y a les paragraphes où l'écriture n'est pas en gras, qui montre que c'est Burton qui répond (à la première personne du singulier, c'est plutôt simple à comprendre). J'ai donc plus eue l'impression de lire un documentaire, qu'une biographie telle que celle de John Lennon de Philip Norman (un bon gros pavé d'environ 1200 pages). C'est toutefois très intéressant à lire pour les passionnés de ce qu'il fait comme moi. 

Il est bon de savoir que dans ce livre, c'est exclusivement ses films, et pas sa vie privée, qu'il prend bien soin de ne pas en parler. D'ailleurs, les "chapitres" c'est lorsque qu'on passe d'un film à un autre. 

Il y a deux préfaces écrite par les belles mains de Johnny Depp, à deux années différentes, et c'est très intéressant, non seulement de lire la relation qui lit ces deux hommes, mais aussi de voir la façon d'écrire de Depp et également, ce qui a changé en onze ans et ce qui n'a pas changé.

Ce qui est vraiment génial également avec ce livre, c'est qu'il nous dévoile cent dessins (je ne l'ai est pas conté, c'est écrit sur la quatrième de couverture) de Tim Burton, pour chacun de ces films, et c'est vraiment fascinant (amis artistes, ces mots vous sont adressés -je rigole-) de voir ses dessins, comment il fait ça, d'en découvrir de nouveau.

Bref, c'est un livre que je conseille aux fans des oeuvres de Tim Burton, il n'est pas long, pas court non plus, et intéressant à lire. Ce n'est pas sa vie privée qui est traitée dans cet biographie, mais ce qui l'a mené à être ce qu'il est aujourd'hui et comment ce sont déroulé les tournages de ses films. 

Ma note : 8/10
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#Posté le dimanche 29 décembre 2013 06:20

Modifié le vendredi 14 novembre 2014 12:46

J'ai peur de ne pas avoir assez de temps, pas assez de temps pour comprendre les gens, savoir ce qu'ils sont vraiment, et qu'ils me comprennent aussi. J'ai peur des jugements hâtifs, de ces erreurs que tout le monde commet. Il faut du temps pour les réparer. J'ai peur de ne voir que des images éparpillées et pas le film en entier. [Ann Brashares]

J'ai peur de ne pas avoir assez de temps, pas assez de temps pour comprendre les gens, savoir ce qu'ils sont vraiment, et qu'ils me comprennent aussi. J'ai peur des jugements hâtifs, de ces erreurs que tout le monde commet. Il faut du temps pour les réparer. J'ai peur de ne voir que des images éparpillées et pas le film en entier. [Ann Brashares]/
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QUATRE FILLES ET UN JEAN, d'Ann Brashares
tome 1 : le première été
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Auteur : Ann Brashares
Titre : Quatre filles et un jean, tome 1 : le première été
Edition : Gallimard jeunesse
Page : 308 _ Date de parution : 2001
Genre : Histoire de vie, roman jeunesse
Résumé : Ma première s'appelle Carmen. Elle est brune et trouve ses fesses un peu grosses. Très attachée aux gens qu'elle aime, elle se montre parfois d'une franchise désarmante. Elle a aussi un énorme problème avec son père... Ma deuxième s'appelle Tibby. Elle ne fait pas son âge, ne s'habille pas très fille. Et si elle joue les rebelles, c'est pour mieux masquer sa grande sensibilité. Une rencontre inattendue va bouleverser sa vie... Ma troisième s'appelle Bridget. Elle est blonde, sexy, sportive, volontaire, mais au fond si vulnérable. Quand elle veut quelque chose, elle l'obtient. Surtout s'il s'agit d'un garçon. Au risque d'aller trop loin... Ma quatrième s'appelle Lena. Elle est brune, superbe. Timide et farouche, elle refuse souvent d'écouter ce que lui dit son c½ur. Mais le soleil de Grève va réveiller en elle des sentiments inconnus... Ma cinquième est un jean. Symbole de leur amitié, il va passer de fille en fille. Il les accompagnera le temps d'un été, un été qui changera leurs vies pour toujours. [résumé quatrième de couverture]

Mon avis : J'avais déjà lue ce livre, il y a déjà pas mal de temps il me semble. J'en avais d'ailleurs gardé un bon souvenir. Alors, lorsque je l'ai vue à un vide-grenier, je me suis donné comme mission de le relire. Et voici que de cette relecture résulte cette chronique.

Je trouve l'histoire du jean très intelligente. Il n'est pas magnifique, j'ai d'ailleurs du mal à croire qu'il aille aussi bien à une portoricaine aux grosses fesses qu'à une fille sans forme, décrite comme étant quasiment androgyne, cependant, c'est une manière remarquable de passer d'une histoire à une autre. Donc, pour le concept d'origine, j'aime bien.

On se retrouve plongé dans l'univers de quatre jeunes filles totalement différentes et pourtant liées par un incroyable lien, une très belle et peu commune amitié. Elles sont toutes les quatre très agréables à suivre. Elles ne sont extraordinaires, elles éprouvent des émotions (souvent contradictoires) comme tout le monde. Elles sont incroyablement humaines ce qui fait qu'on ne peut que se sentir proche d'elles (ou, au moins, l'une d'entre elles). Pour ma part, bien que j'ai apprécié le personnage qu'est Lena, c'est "l'histoire" que j'ai la moins aimée. La fin la rattrape, mais sinon, je trouve que ça fait trop ambiance "carte-postale", je ne vois pas comment décrire autrement. Celle dont je me sens la moins proche est sans aucun doute Bridget. Elle est totalement le type de fille que je ne suis pas. Sans le physique, et des deux (Lena et Bridget), je ressemblerait plus à Lena. Je me suis sentie proche de Carmen, ce qui lui arrive n'est pas génial, et je n'ai pas de difficultés à comprendre ce qu'elle ressens. Je décerne cependant la palme d'or à l'été de Tibby. C'était pourtant mal partit, mais Bailey est un personnage génial, très intéressant et attendrissant, même surprenant. Je me suis pas mal vue en Tibby (et aussi en Carmen, d'ailleurs), et c'est son histoire qui me la plus touché et dont j'ai pris le plus de plaisir à lire.

La plume de l'auteure est simple, agréable, et le tout est très réaliste.

Cependant, bien que ces sentiments soit réalistes, que l'histoire en elle-même soit réaliste également, j'ai trouvé tout cela assez "gnan-gnan", il ne faut pas se leurrer, c'est une saga pour jeunes filles. Je n'ai pas été déçue, je m'y attendais, je l'avais non seulement déjà lu, mais en plus, il me semble avoir éprouvé des sentiments identiques à ce que je vous décris en ce moment même.

Devant ce livre, on ris et on est triste avec les personnages, on est dans la même euphorie ainsi que la même misère. Brashares sait manier les deux registres avec brio. C'est un livre plutôt agréable à lire et que je vous conseille . Cependant, l'aspect amies pour la vie m'a parfois énervé, mais il faut s'y attendre étant donné que ce livre est destiné aux jeunes filles. Il fut tout de même pour moi une agréable lecture et si je vois les autres tomes de cette saga, je l'ai achèterai et vous en ferai d'autres chroniques, comptez sur moi ! 

Ma note : 7/10
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#Posté le mardi 31 décembre 2013 08:01

Modifié le mercredi 21 mai 2014 09:23

Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l'écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd'hui je sais aussi qu'elle illustre, comme tant d'autres familles, le pouvoir de destruction du verbe, et celui du silence. [Delphine de Vigan]

Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l'écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd'hui je sais aussi qu'elle illustre, comme tant d'autres familles, le pouvoir de destruction du verbe, et celui du silence. [Delphine de Vigan]
 /                                                               les vrais yeux de Lucile


RIEN NE S'OPPOSE A LA NUIT, de Delphine de Vigan
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Auteur : Delphine de Vigan
Titre : Rien ne s'oppose à la nuit
Edition : le livre de poche
Page : 400  _ Date de parution : 2011
Genre : Histoire de vie, drame
Résumé :  « La douleur de Lucile, ma mère, a fait partie de notre enfance et plus tard de notre vie d'adulte, la douleur de Lucile sans doute nous constitue, ma s½ur et moi, mais toute tentative d'explication est vouée à l'échec. L'écriture n'y peut rien, tout au plus me permet-elle de poser les questions et d'interroger la mémoire. 
La famille de Lucile, la nôtre par conséquent, a suscité tout au long de son histoire de nombreux hypothèses et commentaires. Les gens que j'ai croisés au cours de mes recherches parlent de fascination ; je l'ai souvent entendu dire dans mon enfance. Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l'écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd'hui je sais aussi qu'elle illustre, comme tant d'autres familles, le pouvoir de destruction du Verbe, et celui du silence. 
Le livre, peut-être, ne serait rien d'autre que ça, le récit de cette quête, contiendrait en lui-même sa propre genèse, ses errances narratives, ses tentatives inachevées. Mais il serait cet élan, de moi vers elle, hésitant et inabouti. » 

Dans cette enquête éblouissante au c½ur de la mémoire familiale, où les souvenirs les plus lumineux côtoient les secrets les plus enfouis, ce sont toutes nos vies, nos failles et nos propres blessures que Delphine de Vigan déroule avec force.[résumé editions-jclattes]

Mon avis : A l'heure actuelle, j'écris cette article sur une lecture très appréciable. Ce n'est certes pas un coup de c½ur, et vous en lirai la raison un peu plus tard dans cette chronique. Je vais donc vous faire la chronique d'un livre de Delphine de Vigan qui s'appelle « Rien ne s'oppose à la nuit ». Au début je ne le pensais pas, mais finalement, c'est véritablement une biographie de sa mère. Je pensais juste (ce qui aurait déjà était une preuve de génie) que c'était l'histoire d'une fille qui avait perdue sa mère et qui raconte sa vie, en quelque sorte un roman d'une fausse-biographie. Mais c'est d'autant plus intéressant que ce soit réellement passé.
 X
Bref, comme toujours, et j'ai pensé la même chose après la lecture de « No et moi », je trouve que la plume de Delphine de Vigan est très belle, très poétique, elle donne envie de lire la suite. Il n'y a pas de chapitres à proprement dit, mais ce n'est pas forcément un mal, et il me semble avoir déjà fait la réflexion sur mon autre chronique du livre cité plus haut. Elle a l'art de rendre les choses belles et de traduire parfaitement les émotions, c'est vraiment impeccable, du beau travail ! 
 
L'histoire en elle même est très intéressante. On plonge dans la vie de Lucile Poirier, ainsi que celle de sa fille qu'il me semble le prénom n'est jamais cité, je l'appellerai donc Delphine vu que ce roman est biographique et autobiographique. Dans la première partie, qui raconte l'enfance de sa mère, il y a les passages où c'est vraiment l'histoire de Lucile, et certains passages qui coupe ceux-ci pour un retour à la réalité, au moment où Delphine écrit ces pages. Ce brusque retour à la réalité n'est d'ailleurs pas désagréable mais plutôt perturbant je trouve. On comprend mieux le sens à la deuxième partie, où ces deux « passages » sont alors indissociables. Et c'est à cette deuxième partie qu'on raconte la vie de Lucile après son mariage et la naissance de sa fille (c'est d'ailleurs ici que commence le récit à la première personne dont le personnage qui parle n'est autre que Delphine), sa chute dans la folie et autres péripéties. C'est un moment dur à lire, où beaucoup d'émotions passent. La troisième partie est la fin, la vraie, celle qui dure les quelques quatre-vingts dernières pages.
 
J'ai aimé lire cette histoire, j'ai aimé cette impression de vieux souvenirs qui s'en dégage, c'est comme regarder un ancien film tourné en super 8. Et il me semble que c'est le seul livre qui m'a fait éprouver un tel sentiment, à moins que je ne me souvienne plus. Lucile est au début un personnage à lequel je m'identifie pas mal. Ensuite, ses chutes dans l'abîme de la folie m'a fait rendre Lucile un petit peu plus antipathique, j'ai eue du mal à la comprendre, car il est dur de comprendre les délires d'une personne lorsque finalement, on ne la connaît pas personnellement (enfin j'imagine). Il y a de nombreux drames dans cette grande famille, et ils sont tous plus ou moins choquant (pour ma part, le plus choquant fut Jean-Marc, à vous de me dire lequel ce fut pour vous).
 
La fin est belle, à la fois douce et dure. Dans ce roman, drame, amour, inceste, folie sont au centre des thèmes principaux. Ce n'est cependant pas un coup de c½ur, car je n'ai pas ressenti autant d'émotions que pour d'autres livres, il est vraiment génial, mais il ne me marquera pas, malheureusement. Mais je note l'écriture magnifique de Delphine de Vigan, et l'histoire très belle qui se déroule dans ce livre. A l'occasion, je vous conseille vivement de lire ce livre !  

Ma note : 9/10
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#Posté le lundi 13 janvier 2014 08:24

Modifié le samedi 26 avril 2014 08:36

Il faudra me réparer le coeur souvent, et alors ? On me le répare depuis que je suis né, ce truc. Je suis en danger de mort ? Peut-être, mais je suis en danger de vie si je ne la revoie pas, et, à mon âge, je trouve ça encore plus grave. [Mathias Malzieu]

Il faudra me réparer le coeur souvent, et alors ? On me le répare depuis que je suis né, ce truc. Je suis en danger de mort ? Peut-être, mais je suis en danger de vie si je ne la revoie pas, et, à mon âge, je trouve ça encore plus grave. [Mathias Malzieu]/
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LA MÉCANIQUE DU C¼UR, de Mathias Malzieu
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Auteur : Mathias Malzieu
Titre : la mécanique du c½ur
Edition : j'ai lu
Page : 155 _ Date de parution : 2007
Genre : roman, conte
Résumé : Édimbourg, 1874, le jour le plus froid du monde. A la naissance de Jack, son c½ur gelé se brise immédiatement. Pour le sauver, la sage-femme qui l'a mis au monde a remplacé son coeur par une horloge. Depuis, il prend soin d'en remonter chaque matin la mécanisme afin qu'il ne s'enraye. Le garçon doit également éviter toute émotion, que ce soit la colère ou l'amour. 
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Mais sa rencontre avec une chanteuse de rue va bouleverser son existence.
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Mon avis : Je commence donc cette chronique en vous disant que c'est un livre très agréable à lire. L'ambiance est tout simplement étrange, magique. En faite, totalement dans mon univers. Il va sans dire que ça ressemble à ce que Tim Burton pourrait faire. Ce n'est plus un secret de Mathias Malzieu le tient beaucoup en respect et que l'univers si personnel de Burton est un terrain qu'il apprécie énormément. Enfin, il me semble. Pour plus de sûreté, et il n'est pas sans risque que je dise des conneries, faites des recherches sur internet.
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En gros, c'est l'histoire d'un garçon qui s'appelle Jack, qui possède une horloge pour remplacé son c½ur défaillant. On lui dit qu'aimer ou haïr sont des sentiments trop forts pour que le mécanisme de l'horloge fonctionne, cela le tuerai. Il rencontre à l'âge de dix ans une jeune andalouse du même âge que lui, et irrémédiablement, tombe amoureux d'elle. Elle me fait d'ailleurs beaucoup pensé à Olivia Ruiz, petite parenthèse. Elle est chanteuse, et à la particularité de ne rien voir sans lunette, et comme elle n'aime pas les porter, il lui arrive de se prendre des murs sans le faire exprès. Seulement, quelqu'un d'autre est amoureux d'elle, son nom est Joe, et depuis qu'il sait que Jack est amoureux d'elle lui aussi, ils se haïrons. Voila, vite fait, le début de l'histoire, bien entendu je ne spoilerai pas.
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J'ai beaucoup aimé le personnage de miss Acacia « la petite chanteuse », elle est originale et très agréable à suivre. Elle a un caractère qui me plaît. Jack, le personnage principal, et sympa à suivre, mais je l'ai moins aimé que miss Acacia. Joe, l'ennemi, est le méchant par définition, mais pour un méchant-méchant, je l'ai pas mal apprécié. Les personnages sont simples, ils sont pour moi, des personnages de dessins-animés. Je l'ai ai vu prendre vie, comme dans un film en stop-motion. D'ailleurs, le film issu de ce film sera un dessin animé et sortira le 5 février de cette année.
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La plume de l'auteur est agréable à lire, et très peu commune. C'est un style, et je pense que tout le monde ne peut pas apprécier (je connais d'ailleurs des gens qui n'ont pas aimé lire ce livre). Mais moi, je trouve que c'est plein de jolies métaphores (il n'y a que ça, pleins de métaphores) extravagantes, mais qui malgré tout, traduise bien ce que peut ressentir le personnage et nous le fait passer, et ça me plaît beaucoup, pour une plume aussi peu commune.
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Je vais être brève pour cette chronique, et je passe directement à la fin. Ce n'est pas un coup de c½ur, je me suis arrêté, parce que j'en avais besoin, je n'ai pas lu le 155 malheureuses pages d'une traite, parce que parfois j'avais besoin de souffler. Ce n'est donc pas un coup de c½ur, cependant, et peut-être aussi grâce au nombre peu élevé de pages, je l'ai lu en deux jours à peu près, ce qui est long pour un livre de cette taille, que, qui plus est, j'ai appréciée lire. Je vous le conseille toutefois, il est agréable, c'est une histoire qu'on se plaît à suivre tout de même, c'est un saut dans un autre univers. Et j'aime les histoires qui se passe dans l'Angleterre victorienne (enfin, un petit peu).
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PS : A remarquer l'apparition express de Jack l'éventreur.  
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Ma note : 8/10
Votre note : 10/10 (1 note)
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#Posté le mercredi 15 janvier 2014 16:00

Modifié le mercredi 21 mai 2014 09:16

Il y a tant de gens qui ne sont pas heureux et qui, pourtant, ne prendront pas l'initiative de changer leur situation, parce qu'ils sont conditionnés à vivre dans la sécurité, le conformisme et la conservatisme, toutes choses qui semblant apporter la paix de l'esprit, mais rien n'est plus nuisible à l'esprit aventureux d'un homme qu'un avenir assuré. [Christopher Johnson McCandless]

Il y a tant de gens qui ne sont pas heureux et qui, pourtant, ne prendront pas l'initiative de changer leur situation, parce qu'ils sont conditionnés à vivre dans la sécurité, le conformisme et la conservatisme, toutes choses qui semblant apporter la paix de l'esprit, mais rien n'est plus nuisible à l'esprit aventureux d'un homme qu'un avenir assuré. [Christopher Johnson McCandless]/
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INTO THE WILD, de Jon Krakauer
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Auteur : Jon Krakauer
Titre : Into The Wild
Edition : 10/18
Page : 280 _ Date de parution : 1996
Genre : biographie
Résumé : Toujours plus loin. Toujours plus seul. Inspiré par ses lectures de Tolstoï et de Thoreau, Christopher McCandless a tout sacrifié à son idéal de pureté et de nature. Après deux années d'errance sur les routes du Sud et de l'Ouest américain, il rencontre son destin (à vingt-quatre ans) au c½ur des forêts de l'Alaska. Un parcours telle une étoiles filante dans la nuit froide du Grand Nord.
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Mon avis : Après avoir était transporté par les images du film Into The Wild de Sean Penn, dont Emile Hirsch tient le rôle principal qui est celui de Christopher « Alexander Supertramp » McCandless, cela faisait longtemps que la lecture du livre dont le film s'est inspiré me faisait envie. Même si il ne s'agit pas de faire une chronique sur le film, je ne peux m'empêcher de vous le conseiller. J'ai ressenti un tel vent de liberté en le voyant, il est à la fois magnifique, avec une si belle idéologie et tellement triste. Les paysages sont à couper le souffle, et les personnages vraiment intéressants. La photographie est sublime. Je voulais juste vous le dire.
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Venons-en au livre. Avant de le lire, je savais très bien que celui-ci était totalement différent des images que j'avais vue. On me l'avait dit à de multiples reprises, et je n'ai donc évidemment pas était déçue d'une quelconque façon en découvrant de mes propres les différences entre les deux ½uvres. Si effectivement, elles sont toutes deux axés sur le personnage qui est Chris McCandless, et sur son voyage initiatique. Le film ne montre pas d'autres exemples, on ne devine qu'à la fin, si toutefois on n'a pas lu le livre, qu'il mourra à la fin. Alors que dans le livre, on sait depuis le début qu'il est mort, c'est vraiment un livre posthume, un hommage. L'auteur du livre ayant déjà fait l'article concernant la mort du jeune homme, cet article ayant déjà était vu par beaucoup de gens, ce n'était vraiment plus un secret lorsque le livre fut publié. Le livre relate bien son histoire au passé, et non au présent. Et c'est sûrement ce qui a pu gêné à la lecture lorsqu'on n'est pas prévenue avant.
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Comme je l'ai dis plus haut, le livre note plusieurs autres faits, je veux dire, d'autres gens qui ont décidé de faire un voyage initiatique, ou quelque chose comme ça, qui s'en sont sorti vivant ou non. Pendant deux chapitres environs, l'auteur nous raconte même son histoire lorsqu'il a lui même tenté à l'âge de vingt-trois ans d'escalader une montagne jusque là jugé impossible à escalader dans l'Arrière Pays (l'Alaska). Il s'en est bien évidemment sorti vivant, mort il lui aurait été plus difficile d'offrir ce livre-hommage. Ainsi que d'autres personnes, comme Everett Ruess par exemple. Il y a aussi de nombreuses citations éparpillées dans le livre et plus souvent au début des chapitres, de personnes qui aurait pu influencer McCandless, qui ont parfois vécu une aventure similaire à la sienne sur certains points, et également des extraits de livre pour lesquels McCandless s'est beaucoup influencé et qu'il apprécié beaucoup. C'est très intéressant, et j'avoue que ça m'a donné envie de les lire.
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Je trouve Chris McCandless épatant. Quelqu'un avec tellement de foi en lui et en ce qu'il croit, un garçon intelligent qui vit pour vivre. Les gens qu'il a rencontré le décrive comme quelqu'un de très intelligent, ne ressemblant pas aux autres auto-stoppeur. Il avait une conversation riche et était agréable. Il croyait vivement en ses convictions, et rien ne pouvait l'en démordre. C'était un gars passionnait, et que je trouve passionnant. J'ai lu très vite ces quelque deux-cent-quatre-vingt pages, car ce livre ce lit vite et on se plaît à suivre ses aventures. C'est regrettable qu'il soit décédé de son voyage.
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En bref, c'est un livre que je conseille vivement. Il est instructif, et j'ai rarement lu des livres instructifs (faudrait que je m'y mette, alors). La plume de Krakauer est agréable et facile à lire, c'est bien raconté.
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« Le bonheur n'est vrai que quand il est partagé. »
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Ma note : 8,5/10
Votre note : ?/10 
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#Posté le samedi 18 janvier 2014 13:03

Modifié le mercredi 21 mai 2014 09:12

De manière tout à fait incongrue, j'ai estimé qu'il y avait une certaine logique à périr dans une explosion nucléaire, quand on était né le jour de l'anéantissement d'Hiroshima. Paul a haussé les épaules, en m'expliquant que, si c'était là tout ce que j'avais à dire, le mieux était encore que je me taise. [Philippe Besson]

De manière tout à fait incongrue, j'ai estimé qu'il y avait une certaine logique à périr dans une explosion nucléaire, quand on était né le jour de l'anéantissement d'Hiroshima. Paul a haussé les épaules, en m'expliquant que, si c'était là tout ce que j'avais à dire, le mieux était encore que je me taise. [Philippe Besson]/
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LA TRAHISON DE THOMAS SPENCER, de Philippe Besson
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Auteur : Philippe Besson
Titre : La trahison de Thomas Spencer
Edition : 10/18
Page : 264 _ Date de parution : 2009
Genre : blablabla
Résumé : Paul Bruder et Thomas Spencer sont nés le même jour, un hasard qui les rend vite inséparables. Sur les rives du Mississippi, ces deux Américains vivent une jeunesse insouciante, à l'abri de l'agitation du monde. Jusqu'à ce que l'effervescence des années 1960 les rattrape en la personne de Claire MacMullen, une jeune femme libre et belle. Donc dangereuse. Dans une période troublée, la part obscure des individus se révèle. Et peur même les conduire à commettre l'irréparable.
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Mon avis :Et c'est au bout de deux jours que je fini ce livre. Globalement, je l'ai bien aimé. Il est ordinaire, bien, mais ordinaire. Je ne sais pas comment dire ça autrement. C'est l'histoire de deux garçons, qui sont né le même jour, qui ont toujours grandis ensemble, et qui ont vécue énormément de chose ensemble. Je pense que je n'aurai pas forcément beaucoup de chose à dire de ce livre. 
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Tout d'abord, parlons personnages. Le personnage principal, le narrateur, s'appelle Thomas Spencer. C'est drôle qu'il soit le salop de l'histoire, c'est rare, et j'aime bien ça. Bref, c'est quelqu'un de plutôt attachant, mais je trouve que c'est trop rapide pour s'intéresser à lui, c'est dur à expliquer, mais je n'ai pas vraiment réussi à l'apprécier parce que je le trouve soit un peu antipathique, soit insipide. Il y a également le personnage qui est Paul Bruder, qui est celui que j'ai préféré. Il ne parle pas pour ne rien dire, il a des convictions qui lui son propre même si ce ne sont pas forcément les miennes, c'est bien de voir qu'il s'assume. Il est calme, et selon moi, impose le respect. Il est agréable. Et si il n'est pas très vivant, il prend en mesure ses responsabilité. Et la fin du livre, que je ne vous expliquerais pas pour ne pas vous spoiler, fait que je l'apprécie d'autant plus. Il est un très bon point du livre, et comme le livre est presque entièrement basé sur sa personne (lorsque Thomas raconte sa propre histoire de lui tout seul dans son coin je trouve ça globalement moins intéressant). Je me dois de vous préciser que la relation qu'entretiennent ces deux jeunes hommes est pour moi vraiment ambigüe, parfois ça me paraît un peu érotique, et ça m'a un peu surprise sur le coup. Enfin, le troisième personnage principal, qui n'étant pas présent sur pas mal du livre ne m'apparaît pas réellement comme un personnage principal, est Claire MacMullen, jeune femme vivante et agréable, que j'apprécie plutôt bien. Elle est la fille qui fout la merde dans l'amitié Thomas/Paul. Elle aime Paul, puis il y a des complications.
 
Ensuite, il faut que je vous parle que ce roman me paraît presque historique. Il retrace les évènements qui ont marqué la mémoire de tant d'hommes (et d'américains dans le livre). Tout d'abord, ils naissent tous les deux le 6 aout 1945, le bébé de monsieur Oppenheimer est fatalement tombé sur Hiroshima. Ensuite, c'est une suite d'évènement qui ce sont passé, comme l'assassinat du présent John Kennedy, celui de son frère le sénateur Bob Kennedy, celui du grand Martin Luther King, il y a aussi la guerre du Vietnam qui est un passage important du livre. On parle aussi de Nixon, de l'horreur des images de la guerre du Vietnam, un tout petit de la LSD, des manifestations. Bref, ça me fait un peu penser à Forrest Gump, sauf que ce film est meilleur (et est carrément un culte).
 
En bref, c'est un bon livre, comme je l'ai dis plus haut. Si ma chronique n'est pas très bonne, il n'en n'ai pas moins que je ressors avec un bon sentiment de ce livre. Il est simple, la plume de l'auteur est agréable à lire, bien qu'au début, j'ai eue un peu de mal, mais ça passe tout seul. Bref, le dénouement final est vraiment bien, je vous le conseille tout de même.
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Ma note : 7/10
Votre note : ?/10 
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#Posté le samedi 18 janvier 2014 14:20

Modifié le samedi 26 avril 2014 08:42

Le puits était-il très profond, ou bien la chute d'Alice très lente ? Toujours est-il que la fillette avait, en tombant, tout le temps de regarder autour d'elle et de se demander ce qui allait se produire. [Lewis Carroll]

Le puits était-il très profond, ou bien la chute d'Alice très lente ? Toujours est-il que la fillette avait, en tombant, tout le temps de regarder autour d'elle et de se demander ce qui allait se produire. [Lewis Carroll]/
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ALICE AU PAYS DES MERVEILLES, de Lewis Carroll
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Auteur : Lewis Carroll
Titre : Alice au pays des merveilles
Edition : Grands Ecrivains
Page : 188 _ Date de parution : 1865
Genre : Conte
Résumé : Assise dans l'herbe un jour d'été, Alice voit passer un Lapin Blanc qu'elle suit dans son terrier. Elle bascule alors dans un monde extraordinaire et magique. Au cours de cet étrange voyage, elle rencontre des Homards qui dansent, un Chat qui apparaît pour s'évanouir, une Chenille qui fume, ou encore une Reine de Coeur qui veut couper la tête de tout le monde. Publié à l'origine en 1865, Alice au pays des merveilles reste aujourd'hui un conte populaire universel. Il est suivi, en 1872, de Alice de l'autre côté du miroir. [résumé Amazon]
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Mon avis : J'avais lu ce livre enfant, il y a quelques années donc, et je ne me souvenais plus vraiment de tout. Bien sûr, le dessin-animé m'avait beaucoup plu, le film de Tim Burton un peu moins, mais bon. Voila, quand je l'ai vu au CDI de mon lycée, je me suis tenté à le lire pour réveiller un peu mes souvenirs, car c'est comme un classique de la littérature anglaise et de jeunesse. 
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Bref, un bon en arrière, des souvenirs en tête, la lecture de ce roman est très agréable. Les personnages sont tous fous, les moins dingues reste le lapin blanc et bien entendu, Alice. Mais les autres personnages sont tous taré. La reine veut couper la tête de tout le monde, le roi n'est qu'un imbécile, le trio lièvre de mars, chapelier et loir boivent le thé et des tartines de beurre depuis mars (l'histoire se passe en avril) parce qu'ils se sont disputé avec le temps, le Ver à Soie est un drogué (en tout cas, c'est ce qu'il m'a semblé être) et le tout est très psychédélique. Pour Alice, tout paraît normal, si bien, que ça nous paraît normal à nous aussi.
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Je n'ai pas tellement de chose à dire. Il n'y a pas tellement de pages, l'histoire est invraisemblable car il s'agit d'un rêve de la jeune Alice, s'endormant à l'histoire de sa s½ur. Il s'agit d'un classique, toujours très agréable à lire. J'imagine que tout le monde connaît, beaucoup en ont un bon souvenir, et je vous conseille de relire lorsque l'occasion se présentera, si vous le voulez.
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Ma note : 8/10
Votre note : 7,5/10 (2 notes)
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bande annonce du film
bande annonce du disney
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#Posté le mardi 21 janvier 2014 14:07

Modifié le mercredi 21 mai 2014 08:35

Ses archives (96)

  • "- Pourquoi il est flippé comme ça ton père ?" "- Il a peur que je meurs." [La Traversée] mar. 28 janvier 2014
  • Parce que, en ville, ce sont les chiens qui tiennent leur maître en laisse, quoique personne ne semble comprendre que le fait de s'être volontairement encombré d'un chien qu'il faut promener deux fois par jour, qu'il pleuve qu'il vente ou qu'il neige, revient à s'être soi-même passé une laisse autour du cou. [Muriel Barbery] mer. 29 janvier 2014
  • C'est en même temps un vagabond, un gentleman, un poète, un rêveur, un type esseulé, toujours épris de romanesque et d'aventure. Il voudrait vous faire croire qu'il est un savant, un musicien, un duc, un joueur de polo. [Charles Chaplin] dim. 02 février 2014
  • Mais je manquais de courage et elle avait un copain et j'étais gauche et elle était sublime et j'étais désespérément ennuyeux et elle était infiniment captivante. Alors je suis retourné dans ma chambre et je me suis écroulé sur mon lit, en me disant que si les gens étaient de la pluie, j'étais de la bruine et elle, un ouragan. [John Green] lun. 10 février 2014
  • Mais elle, sa vie était froide comme un grenier dont la lucarne est au nord, et l'ennui, araignée silencieuse, filait sa toile dans l'ombre à tous les coins de son c½ur. [Gustave Flaubert] sam. 22 février 2014
  • La sensibilité sans le jugement n'est en vérité qu'une potion bien insipide ; mais le jugement qui n'est pas tempéré par la sensibilité est une substance trop amère et trop rugueuse pour pouvoir être avalée par un gosier humain. [Charlotte Brontë] ven. 07 mars 2014
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Création : 23/06/2013 à 10:42 Mise à jour : 27/08/2015 à 08:33

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